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Les larmes du Tigre

Numéros de page :
2 p. / p. 8-9
Il est 6 heures du matin. Georges Clemenceau pleure en silence dans les bras de son conseiller militaire, Henri Mordacq. L'Armistice est signé. Paris se pavoise, la foule, les fleurs, les hourras accompagnent la voiture du président du Conseil de la Chambre des députés au Sénat jusqu'à la place de l'Opéra, où retentit une bouleversante "Marseillaise".