La population s'y est massivement mobilisée pour accueillir les réfugiés. Et même si tout n'est pas rose, l'île des geysers et des volcans fait figure d'exception dans une Europe cadenassée. Avec 330 000 habitants dont 10% d'étrangers, le pays se méfie plus des banques que des migrants depuis la crise de 2008. Et met en oeuvre des moyens conséquents pour favoriser leur intégration.