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Tel chat, tel maître

Auteurs
Numéros de page :
8 p. / p. 22-29
Les aristocrates du XVIIe siècle les aimaient persans ou syriens, de préférence blancs. Les romantiques les décrivaient sombres et bizarres. Dans les années 1960, les classes moyennes les préfèrent aux chiens, regardés comme trop dociles... Et aujourd'hui, nous voulons des chats joueurs et interactifs. Mais l'histoire est plus ancienne, puisqu'elle commence en Anatolie et en Egypte, rappellent Jean-Noël Jeanneney et son invité, Eric Baratay.