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Alfred Hitchcock, "Fenêtre sur cour"

Numéros de page :
pp.97-102
Dans la droite ligne de la définition d'Alberti du tableau comme fenêtre ouverte (De Pictura - 1935), on a trop souvent réduit "Fenêtre sur cour" à la seule pulsion scopique. Il est pourtant un autre aspect du film que l'on omet en général de mentionner : l'air, le vent, l'intangible - cet éther qui porte les sons, la chaleur, les odeurs, et qui influe sur cet autre invisible, le flot de pensée des personnages, intarissable.