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Londres au cinéma

Numéros de page :
23 p. / p. 90-112
Il y a près de trois ans, nous proposions à nos lecteurs un dossier sur la représentation de New York au cinéma (n75, janvier 2009). Aujourd'hui, pour paraphraser Julien Gracq, c'est à la forme cinématographique d'une autre ville mythique, Londres, que nous nous attachons : du Londres dickensien ou gothique du XIXe siècle au Londres contemporain, en passant par celui de la Seconde Guerre mondiale, celui des comédiens Ealing des années 1940-1950, puis des ″Swinging Sixties″ avec l'apport des étrangers, sans oublier le Londres de son enfance transposé par Chaplin aux Etats-Unis.