Aller au contenu principal
couverture du document

"Les Contes d'Hoffmann"

Numéros de page :
2 p. / p. 87-88
Difficile jusqu'alors de se souvenir d'une production d'opéra qui ne sollicite lourdement les efforts de l'imagination, constate en 1951 Cecil B. DeMille lorsqu'il découvre "Les Contes d'Hoffmann", signé par le duo des Archers, Powell et Pressburger. Enthousiaste, DeMille écrit à Powell son goût d'un film qui marie enfin les beautés "du grand art" , avec la machinerie du cinéma. Le sens spectaculaire du cinéma anglo-axon (montrer, séduire, sidérer pour hisser l'imagination) s'épanouit sans limites dans ces "Contes", bel exemple de spectacle total.