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Jacques Doillon

Numéros de page :
7 p. / p. 21-27
Après trente ans et vingt-deux films, Jacques Doillon pourrait sembler un cinéaste "installé". Il ne l'est pas. Il n'est pas non plus abonné aux variantes de l'affect et du langage, ou, pire encore, limité à la raison sociale de "cinéaste des enfants".