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Friedrich Wilhelm Murnau

Numéros de page :
28 p. / p. 76-103
Pour le quarantième anniversaire de cette revue, les rédacteurs de "Positif" avaient élu Murnau parmi leurs dix réalisateurs préférés. Ce choix n'était guère surprenant tant Murnau, l'un des "phares" (au sens baudelairien) du septième art, s'impose comme le père d'un cinéma de poésie qu'ont illustré après lui Vigo, Ford, Sternberg, Welles, Tourneur ou Malick, pour ne citer que quelques noms qui éveillent des correspondances.