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couverture du document

Raphaël Nadjari

Numéros de page :
14 p. / p. 4-17
Depuis quelques mois, le cinéma israélien s'est imposé en France aux yeux des observateurs qui, pour la plupart, ne distinguaient jusque-là que l'omniprésent Amos Gitai. "Tu marcheras sur l'eau", "Prendre femme" et surtout "Mon trésor" ont confirmé la vigueur d'une cinématographie et ont connu un réel écho, tant auprès du public que de la critique.