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Pour un vitalisme critique

Numéros de page :
15 p. / p. 15-29
La vie n'est pas une essence fixe, une valeur absolue, n'en déplaise à ceux qui s'en font aujourd'hui les chantres. Ce qui est irréductible dans le vivant, ce sont les différences, les résistances, les relations ; mais le vivant demeure, on ne peut en faire abstraction. Plutôt que d'opposer la vie à quelque chose qui lui est extérieur (la mort, l'esprit, la liberté), il faut analyser ces contradictions au sein même du vivant.