L'hacktivisme est-il mort ?
Bulletin : Socialter 48
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pp.64-66
La décennie 2010 devait être celle de l'émergence d'un contre-pouvoir mondialisé : celui des Anonymous, Telecomix, Wikileaks et autres groupes d'"hacktivistes" qui, à coup de cyberattaques et de diffusion sur le Net de documents compromettants, pouvaient s'ériger en défenseurs des libertés publiques. Malgré quelques récents soubresauts, l'activité des pirates informatiques agissant contre des gouvernements, des sectes ou des multinationales s'est néanmoins faite plus discrète ces dernières années.