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La GPA prisonnière de guerre

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Numéros de page :
pp.54-59
Rester en Ukraine et risquer leur vie ainsi que celle du bébé qu'elles portent, ou bien se réfugier en Pologne, en Espagne ou en France et devoir accoucher là où la gestation pour autrui (GPA) est illégal ? Depuis l'invasion de leur pays par la Russie, Marina, Tatiana, Kate, Yullia, mères porteuses ukrainiennes, se retrouvent face a un dilemme terrible. Leur sort dépend en réalité grandement des "parents d'intention" avec lesquels elles ont conclu le contrat.