Freud, droit d'inventaire
Numéros de page :
75 p. / p. 4-78
Peut-on, en France, discuter de Sigmund Freud sans hausser le ton ? A-t-on le droit de le considérer comme une référence sans être taxé d'obscurantisme, de naïveté, de mauvaise foi ? Est-il au contraire possible de le critiquer sans être accusé d'ignorance ou de haine ? Un juste milieu est-il envisageable ?