Second volet d'une série consacrée aux éditeurs français qui se sont distingués par leur culot ou leurs coups d'éclat. A l'instar de Pierre Belfond, à la tête avec sa femme d'un groupe qui réunira les éditions Belfond, les Presses de la Renaissance, Acropole et Le Pré aux clercs. Un éditeur qui aura su jouer quelques coups de poker très osés, qui s'avèreront être pour certains de vrais succès commerciaux, comme le roman de Jacqueline Susann, The love machine, dans les années 1970, ou Scarlett, la suite d'Autant en emporte le vent. Avant de vendre sa maison à l'éditeur médical Masson, après une introduction en Bourse néfaste pour lui et son travail d'éditeur.