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Pourquoi Pablo Trapero est accro au plan-séquence

01 février 2016
Numéros de page :
2 p. / p. 16-17
Il en met dans tous ses films : façon documentaire dans l'univers carcéral de "Leonera" ou les méandres urbains d'"Elephante blanco" ou, à l'inverse. comme un effet de style un peu mégalo à la fin de "Carancho" ou tout au long d'"El Clan", succession de prouesses stylistiques. Quel que soit son but, le cinéaste argentin choisit le plan-séquence pour l'atteindre. Et souvent, ça marche.