Empoisonner le langage
01 juin 2017
Auteurs
Numéros de page :
2 p. / p. 7-8
C'est un petit roman cruel, écrit comme un conte, d'un point de vue légèrement omniscient, doucement misanthropique, bien mené. Déploiement d'une prose élégante, claire comme l'eau ensoleillée, légèrement lâchée, inclinant vers le poétique. Il reprend le thème du corbeau, auteur de lettres anonymes, que Henri-Georges Clouzot et Yves Boisset ont utilisé au cinéma.