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Jordaens, le dernier nabab de la peinture flamande

01 septembre 2013
Numéros de page :
6 p. / p. 112-117
Au contraire de ses illustres contemporains Rubens et Van Dyck, qui traversèrent l'Europe de cour en cour, Jacob Jordaens (1593-1678) choisit de rester à Anvers, cité florissante et décadente, dont il fit son royaume. Le Petit Palais lui offre aujourd'hui sa première grande rétrospective en France. Retour sur une gloire oubliée.