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Anastasie, fille aînée de l'Eglise et de l'Etat ?

01 avril 2014
Numéros de page :
/ p. 121-134
Le cinéma, cet art du 20e siècle, l'art du siècle par excellence, n'a pas laissé indifférents les pouvoirs et instances censés veiller au maintien de l'ordre social, politique et moral. Au gré de ce que Frédéric Hervé nomme les "pulsations de la transgression cinématographique", une "Anastasie aux deux visages" (ceux de l'Eglise et de l'Etat) suggère de couper, d'aménager et de censurer. L'auteur examine ici les critères retenus et leurs évolutions, tout comme les contrastes nés d'avis différents entre la Commission de contrôle des films et la Centrale catholique pour le cinéma. Et c'est bien le cinéma tout entier qui, sous contrôle, en est influencé.