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Un Parole sans alliage

16 octobre 2012
Numéros de page :
2 p. / p. 16-17
Sans cesse questionnant, et jamais sans fièvre (elle brûle en lui comme une lumière), il sonde l'homme souterrain (Dostoïevski, Nietzsche) et l'homme de l'abîme (Pascal). Et Chestov revient toujours à la même interrogation, plutôt une invite pressante : que perdrons-nous à renoncer à la raison ?