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Lamartine historien

01 avril 2014
Numéros de page :
1 p. / p. 23
Pourquoi lit-on ce Lamartine sans décrocher, et en voulant toujours aller plus loin ? On a 2 000 pages devant soi, le pensum se transforme en piège, on revient sur les passages sautés alors que l'on se soucie comme d'une guigne de la fin de l'histoire, que l'on connaît. Mais précisément parce que "l'enchanteur" nous conte cette aventure toujours en mouvement sans sombrer dans le positivisme critique, toujours lourd et dont il n'a que faire, et sans davantage donner dans le mélodrame, forme bien trop populaire pour l'homme de Milly.