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Chroniques entomologiques

16 mars 2017
Numéros de page :
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Signatures multiples, jeux des pseudonymes, Emmanuelle Bayamack-Tam aime jouer sous les masques littéraires l'ultime liberté d'être une autre tout en assumant d'être également soi-même. Les pseudonymes lui permettent une césure en ce qui concerne les écritures, les méthodes, les procédés d'intention. C'est donc sous le voile, l'empreinte de Rebecca Lighieri, qu'elle construit son étude puissante de l'homme-animal, dans cette maison, observatoire des comportements, appelée « Leku Ona ». Entrons sur scène.