Boeing et Space X planchent sur deux capsules capables d'assurer l'accès à la station internationale aux Américains. Des vaisseaux qui permettraient à la Nasa de se passer du Soyouz russe, indispensable depuis l'arrêt des navettes spatiales en 2011.

La constellation de positionnement Galileo fonctionne depuis décembre 2016, même si elle ne fournit qu'un service réduit. Mais les applications du "GPS européen" sont amenées à s'étendre.

Il y a dix ans, l'objectif semblait irréaliste. En 2018, constructeurs et agences spatiales planchent sur la réutilisation des fusées. En ligne de mire : des économies substantielles sur le lancement des satellites. Mais seront-elles vraiment au rendez-vous ?

Deux sondes arrivent cet été 2018 aux abords d'un astéroïde pour en récolter des échantillons que chacun renverra vers la Terre. Un matériau ultraprécieux car, issu d'astres primitifs, il doit nous préciser la genèse du système solaire.

Afin d'étendre leurs capacités et d'attirer les clients, les nations spatiales alignent une nouvelle génération de puissantes fusées. La plupart s'élanceront dans deux ans. Revue des concurrents en lice.

Le 11 octobre 2018, les deux astronautes en route vers la station spatiale internationale ont dû revenir d'urgence à terre, après l'échec de leur fusée. A peine les deux astronautes récupérés, l'enquête commençait pour déterminer les causes de l'incident, le premier depuis 1986 sur un vol habité au décollage.

Un temps hauts lieux de l'exploration planétaire, le centre spatial Kennedy et cap Canaveral étaient en perte de vitesse au début des années 2000. Mais grâce au dynamisme de la Nasa et à l'essor du "new space", le site de Floride bourgeonne d'activités.