Une réflexion sur l'ultra-violence et les jeunes des cités qui s'articule autour du risque, de l'ethnicité, de la violence, du conflit et de la désorganisation sociale. A partir d'une enquête menée dans un quartier populaire, l'auteur analyse comment, dans cet espace ghettoïsé, les jeunes construisent des formes d'identité collective et personnelles agressives, mais aussi constructives.

Face aux radicalités musulmanes, les intervenants sociaux sont en première ligne. Ils sont appelés à mettre en oeuvre une politique de prévention de la radicalisation juvénile. À partir d'une enquête de terrain dans la protection de l'enfance, cet ouvrage décrit la réalité de la prévention, mais aussi les risques de radicalisation politico-religieuse et de replis identitaires de la jeunesse. Il met au jour l'ambivalence des intervenants sociaux : conscients que la tentation islamiste constitue un terreau propice à la violence, ils sont déchirés entre leur volonté de participer à la politique publique de prévention et leur crainte de contribuer à la stigmatisation des musulmans.

Les contributeurs constatent la complexification à l'oeuvre dans tous les champs de l'action sociale : les logiques de gestion qui entravent les pratiques professionnelles, la concurrence de la formation et les débats qui agitent la recherche. Ils interrogent l'ambivalence du travail social et les moyens dont disposent les acteurs pour développer une approche émancipatrice de leur métier. ©Electre 2022

Issues d'un colloque tenu à Dijon en 2022, des contributions sur la construction des normes et des formes de réactions sociales en réponse à des problématiques plurielles (sécuritaires, sanitaires, humanitaires, morales, entre autres) liées à la déviance, à la délinquance et à la marginalité dans l'espace public. ©Electre 2024

Cet ouvrage définit dans un premier temps le cadre social et politique dans lequel se situe le débat sur l'intégration avant d'en étudier les 4 modèles : assimilationnisme, communautarisme, intégrationnisme, multiculturalisme.