Deux cents exemples réputés les plus beaux, du XVe siècle à nos jours, sont réunis - parmi lesquels figurent de grands maîtres comme Botticelli, Raphaël, Léonard de Vinci, Michel-Ange, Rembrandt, Ingres, Picasso mais aussi d'admirables artistes moins célèbres tels que Pisanello ou Jean Clouet - et largement commentés. Dessins reproduits pour la plupart en grandeur réelle.

Se voulant une histoire générale de l'art en Occident, de l'Antiquité à nos jours, l'ouvrage présente moins le point de vue particulier de l'auteur que les problèmes et controverses, ainsi que la diversité des approches et des lectures relatives aux objets et artefacts concernés.

Présentation de l'oeuvre et du parcours de G. De Chrico le situant dans l'histoire de l'art du XXe siècle. L'auteur analyse ses relations au surréalisme et la signification de son retour au classicisme, que le peintre prône dès la fin de la Première Guerre mondiale.

Cinquante questions proposent une lecture de l'art, depuis le XVIIIe siècle, à travers différentes approches : phénoménologique, psychologique, sociologique, politique, etc.

La place de la marque Coca-Cola dans l'art est étudiée à travers un choix d'une centaine d'oeuvres : peintures, photographies, affiches... Certains artistes comme Peter Blake ou Andy Warhol ont été fascinés par la bouteille de Coca-Cola et la marque continue encore aujourd'hui à faire appel à des artistes contemporains pour sa publicité.

Un chef-d'oeuvre peut être défini comme "oeuvre d'art particulièrement accomplie". Quand il est question des chefs-d'oeuvre recelés par les musées français, ce sont souvent les oeuvres fameuses, réalisées par les maîtres célèbres, qui reviennent. L'auteur présente une centaine d'oeuvres remarquables, mais considérées comme mineures ou négligées parce que leur auteur est tombé dans l'oubli.

Monographie sur le peintre Othon Friesz, qui s'attache plus particulièrement à sa peinture fauve créée entre 1906 et 1908.

En partant d'une définition : " Est beau, en définitive, ce qui est digne d'attention ", le livre indique, en peu de mots et en s'appuyant sur les jugements des plus grands historiens de l'art, en quoi chacune des 200 oeuvres choisies est plus particulièrement digne d'attention. Etant bien entendu que la beauté d'une oeuvre " s éprouve et ne se prouve pas ", le livre offre au lecteur l'expérience d'un parcours au sein des plus grands musées du monde, parcours au sein duquel se mêlent les plaisirs esthétiques complémentaires de la tradition et de la rupture, depuis le début du XVe siècle (moment de l'histoire où se détache le " tableau " en tant qu'objet de contemplation) jusqu'à nos jours.

En se basant sur l'étude de 150 illustrations, cet ouvrage permet de mieux comprendre les origines (le pop art et le nouveau réalisme) de ce mouvement pictural et les courants qui en ont découlé. Apparu aux Etats-Unis à la fin des années 1960, il s'appuie sur le modèle de la photographie pour reproduire la réalité avec précision et est défini comme la représentation de la représentation.

L'artiste Béatrice Englert peint sans modèle de multiples têtes, en puisant inlassablement autour d'elle et dans son passé, le souvenir d'autant de profils entrevus, réinventés et sertis sur des supports marbrés et embrumés. Dans sa production la plus récente apparaît ce tour de main particulier qui courbe et enroule la forme sur la compartimentation rigoureuse qui structure toujours ses toiles.

Authouart, artiste normand né en 1943, peint toile après toile toute une mythologie contemporaine : celle d'un monde où le chaos surgit des brèches d'un urbanisme à grand spectacle qui cultive l'éblouissement, la fascination, l'illusion.

Les artistes qui ont traité le thème de la ville ont généralement intégré sa dualité : le territoire physique (urbs) et la communauté des citoyens (civitas). Cette dialectique de la pierre et des hommes est implicite dans le panorama dressé par l'auteur, qui se divise en quatre grandes parties : La cité idéale, La ville imaginée, La ville observée, La ville métamorphosée.