En suivant les débuts de Marcello Mastroianni de ses seconds rôles au triomphe public et critique de Divorce à l'italienne, c'est toute l'Italie de l'immédiate après-guerre qui nous est racontée, entre rire et larmes. (Electre)

Présenté sous la forme de billets adressés à sa fille Emi, ce récit est un journal de tournages, un aperçu des coulisses de quatre grands films de Vittorio De Sica. ©Electre 2015

Paolo est un jeune homme sérieux et travailleur qui gagne sa vie comme chauffeur de taxi. Un jour, il conduit trois adolescents à la mer et en profite pour se baigner. Il entend alors l'antivol de son taxi, se précipite et met en fuite les deux garçons qui tentaient de le voler et reste en tête-à-tête avec la fille. Qui est donc cette troublante Lina et que fait-elle avec cette bande de voyous ? Démarrant comme un film noir, la première rencontre cinématographique de Sophia Loren et Marcello Mastroianni devient très vite une savoureuse comédie sociale. Dans cette Italie de la fin des années '50, le réalisateur Alessandro Blasetti s'amuse des travers de ses contemporains et des crises que traverse son pays, à la manière d'un Dino Risi ou d'un Ettore Scola.

Hiver 1917. Frederick Henry, un ambulancier américain, est blessé au front en Italie. Transporté dans un hôpital de Milan, il est soigné par une jeune infirmière anglaise aussi douce que belle, Catherine Barkley, dont il tombe follement amoureux. Mais le jour même où Catherine lui apprend qu'elle est enceinte, Frederick est rappelé au front et doit quitter sa bien-aimée...

Le roi découvre lors d'un ballet une ravissante inconnue, Charlotte de Montmorency. Il décide de la marier avec son neveu, le prince de Condé, afin d'en faire sa maîtresse. Une fois mariés, le prince enlève son épouse pour la soustraire au désir du roi. Claude Autant-Lara (Le blé en herbe, La traversée de Paris) tourne cette comédie historique juste après son succès Le comte de Monte-Cristo. (Electre)

Walter Chiari prend en charge le rôle du conférencier-protagoniste, un journaliste qui, faisant une enquête sur l'égoïsme et étudiant le comportement de ses concitoyens, en commençant par celui de son entourage, est amené à se rendre compte qu'il est lui-même son meilleur sujet d'étude. Cet interprète familier des rôles de crapules sympathiques, et passé maître dans le maniement de l'auto-dérision, était le choix idéal pour faire sentir la fragilité cachée sous le brio de surface. (Electre)

Pour avoir délivré un génie prisonnier d'une bouteille, le fils d'un artisan se voit autorisé à faire trois voeux. Il rencontre ainsi une jeune femme très belle pour qui il risque bientôt sa vie.

Pour régler ses dettes, Madame de... vend les boucles d'oreille que son mari le Général de... lui a offertes. Le parcours de ce bijou aura des conséquences dramatiques. (Electre)

A countess must sell a pair of earnings to pay off bebts, telling her husband they are lost. He soon learns of the deceit and as the jewels begin their journey from one owner to the next, hypocrisy and infidelities are exposed beneath the well-mannered surface of their sophisticated world. Ophuls camera glides with seemingly effortless elegancein this visually dazzling masterpiece which renowned film critic Andrew Sarris described as 'the most perfect film ever made'.

1943, Rome est violemment bombardée. Cesira, une veuve, décide de fuir la capitale avec sa fille de 13 ans, Rosetta. Elle se dirige vers son village natal Sant'Eufemia, dans la région montagneuse de la Ciociara. Elle laisse à Giovanni, son voisin, un charbonnier, son magasin. Le trajet est dangereux sous les mitrailles des avions. A Sant'Eufemia s'organise la rude vie des réfugiés. Michel, un jeune idéaliste, tombe amoureux de Cesira et trouble Rosetta.

Isabelle de Santos est invitée à Venise par un ami milliardaire. Elle promène avec elle une mallette contenant les diamants hérités de son mari défunt. Ces bijoux attirent l'attention d'une bande d'escrocs menée par un barman de grande classe. Celui-ci décide d'utiliser un jeune peintre, en le faisant passer pour un prince oriental, afin de séduire Isabelle, l'épouser et ainsi entrer en possession des diamants. (Electre)

Une vieille femme se remémore avec tendresse sa jeunesse passée dans un couvent : les moments heureux comme les moments tristes, et son histoire d'amour avec un partisan de Garibald...

Italie, 1938. Alors que l'idéologie fasciste imprègne insidieusement les moeurs italienne, les mesures anti-juives se multiplient et les clubs sportifs sont interdits aux membres non aryens. Les Finzi Contini, pilier de l'aristocratie de Ferrare, accueillent des jeunes gens de la petite bourgeoisie locale sur les courts de tennis de l'immense parc qui entoure le palazzo familial. C'est ainsi que Giorgio à l'occasion de revoir son amie d'enfance, Micol, so premier et éternel amour...

Rome, 1945, la guerre est finie. Deux enfants défavorisés, Giuseppe et Pasquale se livrent au marché noir afin de réaliser leur rêve : acheter un cheval. Ils sont rapidement arrêtés et envoyés en prison pour mineurs où règne cruauté et violence. Pour épargner le châtiment corporel à son ami, Pasquale, le plus âgé, avoue sa culpabilité. Mais l acte est perçu par Giuseppe comme une trahison, brisant leur amitié... Deux ans avant le Voleur de bicyclette, Vittorio De Sica réalise le premier grand film du néoréalisme italien. Témoin direct de la misère sociale, Sciuscia se situe délibérément loin d un cinéma sophistiqué avec des acteurs et des décors choisis pour leur apparente simplicité. Oscar du meilleur film étranger en 1947.

Rome, 1945, la guerre est finie. Deux enfants défavorisés, Giuseppe et Pasquale se livrent au marché noir afin de réaliser leur rêve : acheter un cheval. Ils sont rapidement arrêtés et envoyés en prison pour mineurs où règne cruauté et violence. Pour épargner le châtiment corporel à son ami, Pasquale, le plus âgé, avoue sa culpabilité. Mais l acte est perçu par Giuseppe comme une trahison, brisant leur amitié... Deux ans avant le Voleur de bicyclette, Vittorio De Sica réalise le premier grand film du néoréalisme italien. Témoin direct de la misère sociale, Sciuscia se situe délibérément loin d un cinéma sophistiqué avec des acteurs et des décors choisis pour leur apparente simplicité. Oscar du meilleur film étranger en 1947.