Surprise de devoir évaluer les compétences de ses élèves selon des critères très précis, l'auteure va enquêter sur cette pratique en vogue depuis les années 1980 dans de nombreux pays et où les jeunes ne sont que des ressources à utiliser. Grâce à des témoignages, elle propose des solutions alternatives, une "autre école", où l'émancipation des élèves pourrait véritablement avoir lieu.

La politique discriminatoire dont sont victimes les sans-papiers et leurs enfants scolarisés en France constitue un traumatisme pour la société toute entière dans la mesure où elle peut être vécue comme une amputation de certains de ses membres.

Surprise de devoir évaluer les compétences de ses élèves selon des critères très précis, l'auteure va enquêter sur cette pratique en vogue depuis les années 1980 dans de nombreux pays et où les jeunes ne sont que des ressources à utiliser. Grâce à des témoignages, elle propose des solutions alternatives, une "autre école", où l'émancipation des élèves pourrait véritablement avoir lieu.

Dans la vie quotidienne de chacun, jeune ou moins jeune, cadre ou ouvrier, à l'école comme au travail, dans les organisations publiques et privées, au niveau des politiques publiques, etc., les évaluations se font de plus en plus pressantes, diffuses, continues, générant concurrence, mal-être et se révélant souvent inefficaces. Analyse de leurs méfaits et réflexion pour des pistes alternatives.

L'auteur s'intéresse à l'engouement actuel pour le téléphone portable et à l'usage que les individus en font au quotidien, dans lequel il voit une volonté d'être toujours en liaison avec les autres et d'échapper coûte que coûte à la solitude. Il se demande si cette liaison permanente ne détruit pas les liens et si la solitude n'est pas une condition de l'humanité.