Marie-Françoise Plissart est née à Bruxelles le 13 juillet 1954. Elle a publié, seule ou en collaboration, de nombreux ouvrages. Avec Benoît Peeters, Bruxelles, Horizon vertical (Prisme, 1998) et plusieurs récits photographiques, dont Droit de regards (Minuit, 1985), Prague (Autrement, 1985) et Aujourd'hui (Arboris, 1993). Avec Filip de Boeck, Kinshasa, récits de la ville invisible (Ludion, 2004). Avec Caroline Lamarche, Mons (Les Impressions Nouvelles, 2009). Elle a également participé à plusieurs albums de François Schuiten et Benoît Peeters, dont L'Enfant penchée (Casterman, 1996). Elle a réalisé plusieurs films dont L'occupation des sols en 2001 et Atomium, in/out en 2006. Une rétrospective, A World without End, lui a été consacrée au Musée de la photo d'Anvers en 2008.

Correspond aux deux premières séances d'un séminaire donné à l'EHESS, intitulé Questions de responsabilité. Extrait des

L'auteur analyse d'un point de vue philosophique la parole et la publicité faite autour de la parole, notamment de la parole divine, de sa médiatisation. Extrait des

Ce texte est extrait du

Le thème du mensonge est abordé à travers la fable et le phantasme, qui ont en commun de ne relever ni du vrai ni du faux mais plutôt du simulacre. Les mensonges sont proches du mythe par cette incapacité à être des énoncés vrais comme tels, non plus que des erreurs ou des tromperies. Extrait d'un séminaire EHESS 1994-1995.

Un des dialogues qui contiennent l'essence de la philosophie du maître Socrate. Le texte est suivi d'un essai de Derrida. Electre 2015

Transcription d'une conférence de Derrida prononcée à l'Ecole supérieure d'art du Havre en 1991 autour de la figure de l'aveugle et de l'aveuglement en art suite à l'exposition au Louvre sur le thème Mémoire d'aveugles dont le philosophe assura le commissariat. Elle est suivie par un essai qui analyse les propos du philosophe.

Texte inédit du philosophe qui expose son concept de trace, d'archive et de pouvoir politique. Electre 2015

La violence à l'école est très présente, à la fois complexe et variée. Il y a des violences visibles, mais il en est d'autres plus cachées, tout aussi inacceptables.Dans la jungle difficile que constituent les écoles actuelles, ce livre offre des propositions pour se situer et réagir.

Retranscription du seul débat public, datant de 2003, qui s'est tenu entre ces deux figures de la vie intellectuelle française, à la veille de l'intervention américaine en Irak. J. Derrida et J. Baudrillard y abordent les relations entre réel, virtuel et représentation, le rôle de l'inconscient, l'autorité du droit international, etc. Le DVD comporte un enregistrement de l'entretien. ©Electre 2015

Ces deux textes, dit Jacques Derrida dans son introduction, ne peuvent être détachés des circonstances de leur énonciation. Il s'agit dans les deux cas d'une situation de parole : une voix qui résonne dans un certain présent et qu'on ne peut détacher de ce présent. Il n'a pas voulu en effacer les indices. Pourtant, sa voix enregistrée au magnétophone (gramophone) ne s'est pas auto-détruite ou consumée sur place. Elle est devenue une marque qui reste, qui s'adresse à l'autre, qui s'auto-affecte...Son contenu essentiel, ce qui fait événement, c'est que l'oeuvre est inaudible, imprononçable, irrésumable. Son signataire appelle un "oui" plus vieux que le savoir. Il promet l'arrivée d'Elie, le prophète imprévisible, il signe et contresigne le nom de Dieu. Mais là aussi, il ruse. Le commencement qu'il déclare, il le déconstruit aussitôt. Avec la confusion babélienne, c'est la différance et l'espacement qui s'inscrivent.

Le thème du mensonge est abordé à travers la fable et le phantasme, qui ont en commun de ne relever ni du vrai ni du faux mais plutôt du simulacre. Les mensonges sont proches du mythe par cette incapacité à être des énoncés vrais comme tels, non plus que des erreurs ou des tromperies. Extrait d'un séminaire EHESS 1994-1995, repris dans les

L'auteur analyse d'un point de vue philosophique la notion de parjure. En mettant en scène un dialogue entre un homme accusé de parjure et son accusateur, il s'interroge sur le fait que le premier ne se vit pas comme tel et ne pense pas agir comme tel. Extrait des