Quatre reportages illustrant des façons de rétablir un lien avec les éléments naturels. Ainsi, Edith et François restaurent depuis quelques années une benna, un chalet niché à 2.450 m dans le parc naturel de la Vanoise. L'ouvrage s'attarde également sur une communauté vivant dans le Finistère, logeant dans des ker terre (sortes d'igloos d'argile), se soignant et se nourrissant de plantes.

L'auteure a sillonné la France pour rapporter des expériences d'initiatives écologiques ou solidaires de proximité réussies : jardins partagés, villes zéro pesticides, écohameaux, cantines bios, habitats collectifs, villes lentes, pépinières d'entreprises, etc.

Qu'avons–nous en commun de plus précieux à préserver si ce n'est la vie et l'habitabilité de cette planète ?La pensée écoféministe dénonce la double oppression faite aux femmes et à la nature en pointant une origine commune : le patriarcat capitaliste. Inédit sur le plan de l'analyse, en tant que « nouveau récit du monde », l'écoféminisme l'est aussi sur la forme, par ses manifestations dansées, joyeuses et profondément pacifistes.Pourquoi l'écoféminisme rencontre-t-il un tel écho aujourd'hui ? Quelles sont ses luttes emblématiques, ses valeurs, ses rôles modèles, ses modes d'action, ses lieux-culte ? À travers cet ouvrage, magnifiquement illustré par Anna Maria Riccobono, Pascale d'Erm présente les « fondamentaux » de l'écoféminisme, ou plutôt des écoféminismes, car il semble que nous soyons nombreux·ses à être écoféministes sans le savoir… Et c'est tant mieux, car l'écoféminisme n'est pas seulement « un autre récit possible » de notre capacité à habiter la Terre, c'est la plus belle façon de se réinventer un destin commun sur notre Terre/monde/maison. 

Les nouvelles façons d'habiter sont l'objet de ce travail de journaliste. Elles véhiculent des valeurs culturelles, économiques et écologiques, basées sur le partage, l'entraide, l'éco-construction et l'autonomie énergétique, les liens intergénérationnels et multiculturels, le travail en commun, la citoyenneté locale. Elles prônent l'épanouissement personnel.

Quand A. Bertrand et Y. Gillen s'installent dans les jardins du Marais, au nord de Saint-Nazaire, leur objectif est de dépendre le moins possible de la société de consommation. Ils construisent une maison avec des matériaux de récupération, se nourrissent des produits de leur jardin, utilisent les énergies solaires et éoliennes. Témoignage de ces trente années passées en quête d'autarcie. ©Electre 2019

L'école de la forêt, ou Forest school, est née dans les années 1920 dans le Wisconsin au sein de l'école Laona avant de se diffuser progressivement en Europe. Particulièrement en vogue en Allemagne et en Scandinavie, elle permet à l'enfant de développer ses fonctions motrices et d'interagir avec les objets et éléments qui l'entourent. Présentation de cette méthode pédagogique et de ses bienfaits. ©Electre 2022