Le roman de Jean Giono "Un roi sans divertissement" (1947) a été republié en 2020 dans une anthologie de la « Bibliothèque de la Pléiade » qui retrace le parcours d'une oeuvre, de "Colline", en 1929, à "L'Iris de Suse", en 1970, l'année de la mort de l'écrivain.

Philippe Sollers, dans ces lettres à Dominique Rolin, dévoile la genèse de son oeuvre, ce qui la sécrète, permettant par là même de mieux appréhender le défi qu'elle recèle.

L'oeuvre de Gérard Macé est inclassable. Elle conjugue tous les temps, navigue entre les genres. On ne sait comment la circonscrire à l'image de ces « Pensées simples » qui paraissent chez Gallimard depuis 2011 et qui procèdent « par enchaînements subtils, par échos, associations, analogies ». Il s'agit d'une oeuvre qui bouge, se déplace ; constamment en mouvement, elle est insaisissable, en trompe-l'oeil.

La parution des "Oeuvres choisies" de Pierre Pachet ("Autobiographie de mon père", "Le Grand âge", "Bêtise de l'intelligence", "Conversations à Jassy", "L'Oeuvre des jours", "Adieu", "L'Amour dans le temps", "Devant ma mère", "Sans amour") est l'occasion de revenir sur cet écrivain à part, traducteur de "La République de Platon", qui exerça longtemps sa plume critique dans les colonne de notre journal...