Jean-Claude Perrier, né en 1957, est journaliste (Livres Hebdo, Le Magazine littéraire, L'Orient littéraire...). Il présente l'émission « La Voix des livres » sur Radio Notre-Dame. Écrivain, grand voyageur, il a consacré plusieurs livres à l'Inde. Sur Gide, il est l'auteur d'André Gide ou la tentation nomade (Flammarion, 2011). De Gide, il a édité deux inédits : Le Ramier (Gallimard, 2002) et ses traductions de poèmes de Kabîr (La Flûte de l'Infini, Poésie/Gallimard, 2012).

Un portrait de Charles de Gaulle à travers les publications des écrivains sur son parcours, de son vivant ou depuis sa mort : Paul Claudel, André Malraux, François Mauriac, Pierre Jean Jouve, Romain Gary, Jean Dutourd, André Gide, Simone Weil, Régis Debray, Louis Aragon, Jean-Paul Sartre, Jacques Laurent, entre autres.

André Gide a passé près d'un an, de juillet 1925 à mai 1926, dans les territoires de l'Afrique-Equatoriale française. La description des conditions de vie des Noirs le long du Congo et au Tchad forme un véritable réquisitoire contre l'administration coloniale.Dindiki est une courte évocation d'un petit animal qui lui a été offert. ©Electre 2022

Invité en URSS en 1936, du fait de sa sympathie envers le communisme, A. Gide proclame sa déception, dès son retour. Il raconte l'URSS telle qu'il l'a vue, les réussites qu'on lui a montrées, la dictature monolithique qu'il a observée derrière le faux enthousiasme collectif. Les communistes l'attaquent. En 1937, il leur répond dans un texte où il critique le stalinisme. ©Electre 2022

L'auteur est allé en Inde à plusieurs reprises dans le but d'y découvrir les vestiges de la présence française. Pour ce faire, il s'est installé successivement à Mahé, Pondichéry, Karikal, Yanaon et Chandernagor.

« La poésie de la vie est une chose capitale, mais c'est parce que j'ai ce sentiment aussi profondément poétique que je maintiens ma révolte, mon refus des horreurs, des ignominies, des mensonges, des haines. Mon ennemi, c'est la haine. » Edgar Morin, sociologue, philosophe, est l'un des plus grands penseurs de notre époque.

G. Flaubert et M. Du Camp entreprennent un grand voyage de deux ans qui les mène sur le Nil, en Syrie, et un retour par la Grèce et l'Italie. Ils s'intéressent aux monuments antiques, à la nature, aux moeurs, aux cérémonies et aux fêtes. Leurs deux textes se succèdent dans ce volume. ©Electre 2021

La chanson française connaît à partir de 1981 une importante métamporphose caractérisée par quatre périodes distinctes : les fondateurs (Daho, Goldmann...), les stars des années 80 (Obispo, Zazie) et la nouvelle vague (Saer, Raphaël, Cox, etc...). (Livres Hebdo)

On se prend encore à rêver du grand roman indien qu'aurait pu écrire André Malraux, du temps où il écrivait des romans. Ou de l'essai artistique, spirituel et prophétique qu'il eût pu consacrer ensuite à l'Inde, lorsqu'il eut cessé d'écrire des romans pour se livrer à ses réflexions sur l'art, l'histoire ou la littérature... Mais ces ouvrages n'existent pas, alors que l'Inde est le pays lointain où Malraux s'est rendu le plus souvent, en voyages privés ou en missions officielles, de 1930 à 1974, année de son ultime voyage. Et que l'Inde est sans doute le pays qui l'a le plus fasciné, l'accompagnant durant toute sa vie et irriguant sa pensée et son oeuvre. Nous avons voulu, humblement, combler ce manque en imaginant un livre fondé sur le dialogue entre deux civilisations, représentées par des intellectuels, des diplomates, des journalistes, des analystes ou témoins privilégiés de la longue aventure indienne de Malraux. Un livre-puzzle qui s'appuie sur tout ce que Malraux a écrit ou dit sur l'Inde, oeuvres, préfaces, discours ou interviews, dont nombre d'inédits ; et qui rassemble des études d'universitaires indiens ou français, mettant en lumière tel ou tel aspect de cette relation unique entre un écrivain planétaire et un pays hors-normes.