Dans les années 1970, la prise en compte de la nature souvent asymétrique d'une information a révolutionné l'analyse économique qui jusqu'alors la traitait généralement comme parfaitement partagée. Cette évolution permet en effet de mettre en lumière des mécanismes jusqu'alors négligés, mais pourtant essentiels à la compréhension des comportements des agents, du fonctionnement des marchés, ainsi que du rôle et de la place des politiques publiques et de leurs effets. Pas de chiffres.

A partir des années 1970, l'analyse économique a été révolutionnée par la prise en compte de l'asymétrie d'information : toute relation de délégation implique de l'incertitude pour la partie la moins informée. Celle-ci doit alors s'efforcer d'en tenir compte pour limiter les effets à son encontre. Pas de chiffres.

Le droit au logement est reconnu en France comme un droit social à valeur constitutionnelle. Or, une crise du logement fracture le pays, touchant à des degrés divers plus du quart de la population. Des questions se posent donc sur l'efficacité des politiques d'aide au logement. Détails. Pas de chiffres.

Les pénuries de masques, de respirateurs et de médicaments, constatées au début de la crise de la Covid-19, ont révélé certaines dépendances consécutives à la délocalisation d'activités en dehors de la France. La relocalisation est-elle une solution ou révèle-t-elle les limites de la délocalisation ? Détails. Pas de chiffres.

Pour retrouver une croissance soutenable, les politiques de stabilisation macroéconomique, certes nécessaires, ne sont pas suffisantes. Elles doivent être complétées par des réformes structurelles, imposant de faire des choix responsables. y compris en termes de dépenses et de dette publique. In fine, seule la concurrence peut contraindre les firmes à gagner en compétitivité, à redistribuer leurs rentes et ainsi à libérer la voie à la prospérité. Sommaire. Quelles politiques économiques pour relancer la croissance ? Les voies de la prospérité : le salaire. la rente ou la concurrence ?

Inciter efficacement les pollueurs à intégrer le coût économique et social de leur pollution dans leurs décisions de production, tel est l'objectif des marchés carbone. Il existe aujourd'hui une vingtaine de marchés de ce type dans le monde : le plus important d'entre eux est le Système communautaire d'échange de quotas d'émissions (SCEQE) mis en place par les pays de l'Union européenne à partir de 2005. Son fonctionnement demeure néanmoins insatisfaisant. Faut-il pourtant condamner l'outil des marchés carbone ? Pas de chiffres.

Vouloir mesurer le bonheur peut paraître incongru. Afin de relever ce défi, les économistes se fondent sur les décisions d'achat et, surtout, sur ce qui est ressenti et déclaré par les individus eux-mêmes. Alors, l'argent fait-il le bonheur ? Pas tout à fait si l'on veut croire aux résultats des recherches, car si la richesse contribue au bonheur, on s’habitue très vite à un revenu plus élevé. In fine, la satisfaction, et donc, le bonheur, seraient donc fondamentalement "relatifs"

L'instabilité du système financier est surtout le résultat des convictions des investisseurs. L'homme pèche par optimisme ou pessimisme excessifs car il extrapole et fonde son analyse de l'avenir sur des événements considérés comme représentatifs. A la Bourse, les effets de ces extrapolations conduisent à des phénomènes de sur-réaction et des krachs.