Deux archéologues français ont essayé de percer les mystères de la grande pyramide de Khéops. Depuis 1988, ils ont conduit des recherches approfondies, utilisant des méthodes et des techniques innovantes. Ils racontent en détail leurs recherches, découvertes et progressions dans cet univers.

Ancien artisan, l'auteur propose une nouvelle explication à la construction de la pyramide de Khéops, fondée notamment sur le rôle des pierres de pivotement et des berceaux oscillants. ©Electre 2017

Présentation des rites liés à la maternité et à la petite enfance dans l'Egypte antique. Le rôle d'une femme était celui de mère principalement, l'absence d'héritier étant susceptible d'entraîner une déconsidération et d'aboutir à une répudiation. L'enfant, lui, n'obtenait un vrai statut social que lorsqu'il sortait de la petite enfance, source de risques et d'inquiétude.

Les dernières données archéologiques découvertes sur le plateau de Gizeh permettent à Z. Hawass de défendre sa théorie selon laquelle les pyramides furent construites par des ouvriers spécialisés. Il revient sur l'histoire des familles royales qui ont entrepris de les bâtir.

Mykérinos succède à son père Képhren sur le trône d'Egypte. Il mène une politique modérée - il ne se fait donner qu'une modeste pyramide, et rend au dieu Ptah son culte et ses biens. Persenti et Djedefhor ont eu un fils, Nékarouê, mais ils finissent pas se marier chacun de leur côté. (Bibliotéca magazine)

Après que Djoser a vaincu Meren-Seth, le Double-Pays traverse une ère de prospérité. Mais bientôt s'annoncent de nouvelles épreuves. Des hordes barbares venues d'Asie déferlent sur le Levant, menaçant les comptoirs égyptiens ; un ennemi insidieux tente de détruire l'unité de la famille royale. Thanys croit y voir la résurrection de Meren-Seth, dont le corps n'a jamais été retrouvé. Mais est-ce bien lui qui provoque la mort de la petite princesse Inkha-Es? C'est dans le décor mythique et grandiose du Sinaï qu'un ultime combat opposera Djoser et son adversaire mystérieux. (Bibliotéca magazine)

Après avoir "marché dans les traces des dieux" et vaincu l'usurpateur Nekoufer, Djoser et Thanys montent sur le trône d'Horus. A leurs côtés, Imhotep le sage est devenu grand prêtre de Iounou, la ville du soleil. Afin d'éviter que ne recommencent les luttes fratricides, Djoser décide de faire d'Horus le dieu principal de l'Egypte. Mais bientôt d'étranges récits font état de l'apparition du spectre de Peribsen, partisan du dieu Seth, revenu du royaume des morts pour reconquérir son trône. Face à Horus, image du soleil, se dessine une divinité sombre, faite de ténèbres et de barbarie. Une lutte sans merci va s'engager entre Djoser et cet ennemi effrayant. (Bibliotéca magazine)

Ce roman est présenté comme la transcription par G. Rachet, d'un vieux manuscrit dont a hérité Soliman Khattab, cairote vivant près des Pyramides, manuscrit contenant les mémoires d'un noble Bédouin, Chafiq, supposé avoir vécu au début du VIIe siècle. L'époque, ses moeurs, les paysages sont bien évoqués dans ce récit riche en rebondissements.