Les Egyptiens ne coupaient pas leurs cheveux pendant les voyages pour se sentir protégés. Les perruques, jadis, servaient de cachette pour les billets doux... Le cheveu et le poil, leur symbolique, leurs représentations, les croyances et les pouvoirs qui leur sont attachés.

Depuis toujours et à travers le monde, l'être humain craint l'ours, qu'il chasse, ou qu'il enferme, dompte et exhibe. Et c'est à travers l'étude des nombreuses représentations culturelles de cet animal sauvage (livres, jouets, films, publicités, fêtes, etc.) que l'auteur montre comment les êtres humains se représentent ce qu'ils croient être les ours.

Il y a plus qu'une connivence entre l'art et l'anatomie, qui ont tous deux évolué de concert et forgé une anatomie artistique dont la précision et l'exactitude ne le disputent qu'à l'esthétisme. Et si l'imprimerie permit aux planches des leçons d'anatomie de se développer, les représentations des peintres hollandais se sont perpétuées par la lithographie et la photographie.