Ce quatrième tome, La Colère de Spartacus, se situe en 78 av. J.C., à la mort du dictateur Sylla. Rome est alors le terrain d'une lutte sans merci entre Pompée, revenu couvert de lauriers de sa campagne militaire d'Espagne, et Crassus, l'homme le plus riche de la péninsule. Un troisième homme attend son heure, le jeune sénateur Jules César. Mais tout à coup voilà Rome sous la menace d'un péril nouveau : une horde d'esclaves commandée par un certain Spartacus est aux portes de la ville. (Biblioteca magazine)

63 av. J.C. Les complices de Catilina viennent d'être exécutés au terme d'un procès expéditif. César se retrouve au centre d'un scandale : lors des cérémonies religieuses à Bona Dea, strictement réservées aux femmes, on a découvert un homme revêtu de vêtements féminins. L'intrus n'est autre que Clodius, l'ami de Pompeia, femme de César. Ce dernier n'a d'autre choix que de répudier Pompeia. Libre de toute accusation, devenu préteur, Cesar peut enfin songer au consulat. Il se rapproche de son rival Pompée, revenu d'Orient, et de Crassus, pour former avec eux un triumvirat, escomptant bénéficier de la puissance politique du premier et des fonds du second. (Bibliotéca Magazine)

Ce volume dépeint la conquête de la Gaule par Jules César : ses premiers succès sur les soldats arvernes, sa volte-face et sa marche sur Rome, sa défaite face à Pompée devant Pharsale. Autour de ces événements militaires, McCullough construit plusieurs intrigues mettant en scène les machinations politiques du Sénat romain, ou les affaires sentimentales des familles patriciennes et de la cour de Cléopâtre. Par-delà les différents complots, Jules César reste le point de mire de Colleen McCullough, qui laisse ses lecteurs pénétrer au coeur de ses interrogations personnelles. Ainsi, la peine qu'il ressent lors de la mort de sa fille Julia. Ainsi son trouble devant la superbe esclave gauloise qui lui est livrée. (Bibliotéca Magazine)