Après l'analyse des limites du produit intérieur brut (PIB) en tant qu'indicateur de performance des nations, les auteurs présentent de nouveaux indicateurs économiques basés sur le développement humain, la santé sociale, le bien-être économique et le développement durable.

Montre en quel sens la mondialisation s'est accompagnée d'une augmentation considérable de la quantité de risques financiers, ce qui a été l'élément déterminant du déclenchement de la crise de septembre 2008.

La sociologie comme science doit son succès au postulat de l'individualisme méthodologique. A travers ces textes, R. Boudon propose une étude de cette sociologie comme science, qualifiée aussi d'analytique ou d'explicative.

L'auteur revient sur son parcours, ses recherches et livre son point de vue sur la société française, ses ressorts et quelques unes de ses institutions. Sommaire I. Les mouvements sociaux - La sociologie post-68 - Les nouveaux mouvements sociaux - L'intervention sociologique - Une série de recherches - Retour vers les ouvriers II. La banlieue - Juillet 1981 - Une recherche - La galère - Émeutes et protestations - Vingt ans après III. Les élèves, l'école et l'institution - Partir des élèves - Pourquoi travailler à l'école ? - Les tensions de l'expérience scolaire - Homologies - Le déclin de l'institution IV. Justice sociale - Critique de l'égalité des chances - L'injustice au travail - Critiques des injustices - Injustices et mouvements sociaux - L'économie morale des injustices - Qui est responsable ? V. L'expérience sociale - La société et l'action - Les correspondances affaiblies - L'expérience sociale - Que font les acteurs ? - Des formations sociales

Le livre examine les origines démocratiques du multiculturalisme, ses fondements philosophiques et le développement, à travers le monde, de politiques qui s'en inspirent par la promotion des droits culturels, la recherche de nouvelles formes de citoyenneté, les discriminations positives.

La crise financière de la fin des années 2000 a été lourde de conséquences pour les pays développés. Pour permettre à l'activité de se maintenir, ils ont dû laisser leurs déficits budgétaires se creuser, créant une autre crise, celle des dettes souveraines.

L'auteur définit ici le Moyen-Orient comme le produit d'une histoire mouvementée. Il analyse notamment la question de l'autoritarisme, la fatigue sociale et la démobilisation, les faits communautaires et minoritaires, les rapports intergénérationnels, les représentations du corps et le radicalisme islamique ou non.