Promis, juré, craché... à partir d'aujourd'hui Juliette fera attention à ce qu'elle dit. Mais lorsque Noémie, sa meilleur amie, lui confie un secret, c'est raté ! Juliette ne peut pas tenir sa langue... (Quatrième de couverture)

Première visite familiale à la maternité. Les aînés ont emporté des cadeaux pour le nouveau né. Dédramatisation de l'événement.

Comme le rappelle l'illustrateur en exergue, par un mot d'Anatole France, "ce qui n'a pas de secret n'a pas de charmes." Peut-être, tempère l'auteur, mais ce qui n'est que secret finit aussi par n'en plus avoir du tout. Ainsi ce secret à l'allure de bonhomme tyrolien dans la bille gagnée à la pêche à la ligne. De lui, il ne faut rien dire, sinon il disparaîtra. Au début, c'est rigolo, on laisse planer le mystère, et nous voilà centre d'intérêt général. Oui, mais les autres aussi se mettent à avoir leurs secrets, à cette nuance près qu'eux les partagent. Pas avec nous, puisqu'obtempérant aux ordres de l'emplumé du chapeau, nous ne disons rien du nôtre... On était seul au début, nous revoilà seul à la fin... C'est alors que Cupidon s'en mêle. Y'en a un qui va bientôt retourner faire tiralalilalliayouyou dans ses montagnes... (Citrouille)

Au détour d'une forêt, Julie la dernière de la classe, tombe nez à nez avec... le dernier des ogres. Voici quelque chose d'épatant à ramener à l'école ! Malheureusement, une fois en classe, l'ogre devient incontrôlable. (Livres-Hebdo)

La vie des bateliers sur la Vézère au XIXe siècle. Le père de Ricou, accusé d'un crime, doit fuir le village. Ricou prend sa place parmi les gabariers qui descendent la rivière. (Livres hebdo)