Formé en 2014, Wiegedood officie dans un black metal atmosphérique et nous vient de Belgique. De doden hebben het goed III est le 3e volet d'une trilogie commencée en 2015. Une atmosphère brutale mêlant blast beats, chants écorchés et riffing rapide et complexe. Avec ce 3e chapitre, le groupe se plaît à explorer cependant d'autres horizons et à mixer les différentes écoles que rassemble le black metal. Au-delà du déluge de fureur, se cache, en effet, des ambiances plus riches et variées qu'il n'y paraît. Le son ample permet aux mélodies de se détacher et d'exister véritablement. (Electre)

Après un 1er album sur Rise Above en 2015, Johanna Sadonis, leader et chanteuse de la formation suédoise, a décidé de faire équipe avec Nicke Andersson (Entombed, The Hellacopters) pour cet opus afin d'emmener les influences hard rock vintage 70's au niveau supérieur avec des changements de tempo, alternant entre parties rock sombres et lourdes, grooves occultes et rythmiques endiablées. (Electre)

Avec ce troisième album le groupe anglais développe une musique débridée et parfaitement cohérente avec le concept général. Les cassures jazz ou flamenco, les débordements à la Liquid Tension Experiment et les orchestrations du Haken String Quartet sont autant de moments pour une pure jubilation musicale.

Body Count revient sur le devant de la scène et le moins qu'on puisse dire c'est que le groupe est super en forme. Dès les premières secondes il nous sert ses riffs les plus efficaces avec toujours ce gros son, ces tonalités hardcore old school, hip hop, fusion et thrash, ces guitares surprenantes, ces titres complètements fous et un Ice-T qui n'a rien perdu de sa verve et de son vocabulaire. Avec en invités spéciaux : Dave Mustaine (Megadeth), Max Cavalera (ex-Sepultura, Soulfly) et Randy Blythe (Lamb Of God). (Electre)

III est le troisième album studio de Demons & Wizards, l'une des collaborations les plus légendaires de l'histoire du heavy metal avec Hansi Kürsch (Blind Guardian) et Jon Schaffer (Iced Earth) ! III est un monument de 65 minutes de heavy dynamique et puissant qui a tout simplement tout ce que l'on peut attendre de ces musiciens emblématiques ! Un album épique, mélodique, lourd et atmosphérique. (Electre)

Le très attendu sixième album des maîtres suédois du black metal est d'une puissance et d'une efficacité hors norme. Une réussite tant au niveau mélodique qu'à celui de la brutalité, Where shadows forever reign ne laisse aucune place à l'hésitation ou à l'ennui. On ne peut qu'admirer la production exemplaire, le subtil dosage entre terreur et émotions et la sincérité brute qui suinte par tout les pores de cet album. (Electre)

Le rapprochement des styles opéré sur les albums précédents continue, un peu plus physique et concis qu'auparavant mais toujours aussi spatial et expérimental. The wake se révèle d'ailleurs immédiatement accrocheur. Voivod possède cette faculté incroyable d'épater l'auditoire avec des titres dont la structure complexe est pourtant exprimée avec une aisance déconcertante, qui permet à n'importe qui de rentrer dans son univers. Plus de 35 ans de carrière, mais toujours aussi inventif ! (Electre)

Bien que profondément ancré dans le death metal classique, inspiré de légendes telles que Dismember, Entombed, Morbid Angel, Death et Bolt Thrower, le groupe formé en 2015 est passé d'un phénomène underground danois à une formation majeure de la scène internationale. Baest a donc connu une croissance fulgurante depuis la sortie du premier album en 2018. Avec Venenum, le groupe monte d'un cran en terme de qualité. Le tempo est réfléchi, les détails mûrement pensés, le growl profond et l'ensemble est techniquement irréprochable. (Electre)

Deux ans après leur premier album Subjugate sur Century Media et acclamé par la critique, le groupe allemand est de retour avec son troisième album studio, un assaut constant de riffs death ultra puissants, de blasts inhumains et d'attaques punk. L'énergie brute et l'attitude socio-critique sans faille du groupe, associées à une exécution incontestablement habile, séduiront à la fois les inconditionnels du death metal old school et de grindcore comme Entombed, Carcass ou Napalm Death, mais aussi les amateurs de groupes de metal extrême contemporains comme Converge, Trap Them or Full Of Hell. (Electre)

Le son si particulier et cher au groupe est bien présent, guitares saturées, son étouffant, riffs simples mais efficaces. La voix de L-G Petrov, reconnaissable entre mille, est toujours aussi granuleuse et injecte à l'ensemble un dynamisme incroyable. Les compositions sont variées, les ambiances lourdes avec ce côté rock'n'roll de haute volée. (Electre)

Une finesse technique à couper le souffle mettant en vedette Stefano Franceschini du groupe Aborted à la basse. Un death brutal exempt de clichés grâce à une variation de titres directs, techniques et travaillés. La voix est surpuissante et l'ensemble très solide. Tout comme un Fleshgod Apocalypse, Hideous Divinity porte fièrement les couleurs du death metal italien. (Electre)

Insomnium occupe une place de choix dans le cercle très restreint des groupes dont la carrière sans fausse note impose le respect : huit albums de qualité, des sorties régulières et une amélioration progressive au fil des années constituent la plus grande force des finlandais. A la fois mélodique et abrasif, riche en atmosphère, on retrouve également ces fins arrangements orchestraux venant sublimer un chant vigoureux. Insomnium incarne la force tranquille, l'équilibre parfait entre émotion et efficacité. Un album magique dont les mélodies et l'intensité vont au-delà de nos espérances. (Electre)

Les trois premiers albums réunis en CD ainsi que la légendaire démo du groupe Vargnatt. Inclus 1 livret exceptionnel de 104 pages avec des photos rares du groupe, des commentaires de Jon 'Metalion' Kristiansen (Head Not Found Records ), le rédacteur en chef de Slayer Mag, Michael Moynihan (l'auteur de Lords Of Chaos), Mark Pilkington (Strange Attractor Press) ainsi que les paroles en Norvégien traduites en anglais. Le tout entièrement remasterisé ! (Electre)

Le groupe de black metal le plus célèbre de tous les temps est de retour ! Par le pouvoir des ténèbres et la force des âmes sombres, aucun album de Mayhem n'a été ou ne sera identique. Il en va de même avec le 6e album du groupe qui reste ouvert aux changements et à de nouveaux horizons. A noter que Mayhem a attiré l'attention des médias grand public avec le film Lords of chaos du célèbre réalisateur Jonas Akerlund. Le film a été présenté au Sundance 2018. Cette édition limitée en version mediabook est proposée avec une pochette différente imprimée en dorée + 1 livret de 28 pages et 2 titres bonus. (Electre)

L'album est doté d'impressionnants riffs jamais entendus dans l'histoire du groupe, à la fois clairs, techniques, puissants, ils ont surtout un redoutable feeling mélodique. La voix de Glen Benton est toujours impériale et les solos magnifiques. Deicide est toujours aussi brutal mais pourtant plus mélodique. Pochette et graphisme réalisés par Zbigniew Bielak (Ghost, Behemoth, Paradise Lost, Watain... ) tandis que l'album a été produit par Jason Suecof (Trivium, The Black Dahlia Murder, Death Angel). (Electre)

Voici le projet de tous les membres d'Orphaned Land et du chanteur d'Amaseffer. Un album concept sur les trois religions abrahamiques. Laissez-vous emporter dans ce voyage biblique au pays de Kna'an. Minutieux et technique, chaque instrument est à sa place et alterne entre interludes orientales posant les ambiances et d'autres passages de metal mélodique et oriental. (Electre)

Cet album est bel et bien centré sur l'essentiel : la musique et si la production est soignée, c'est pour mieux s'effacer d'un point de vue technique et mettre en valeur toute l'émotion, la force bien réelle des morceaux et des textes. C'est donc parti pour une heure de musique progressive dans une tonalité classique. Les claviers se taillent une bonne place, pour une ambiance entre rock planant, atmosphérique (l'utilisation de la flûte y est pour beaucoup) et frissons space opera dans les solos soudain plus échevelés, parfois capables d'agressivité, notamment au synthé. La voix de Andy Tillison est posée, racée et décrit des paysages intimes avec une belle assise.

Avec des membres de Dimmu Borgir, Entombed A.D., Necrophobic, Unleashed, Raised Fist, Naglfar, des titres courts, concis et efficaces, basés sur des riffs imparables et une approche sonore brute. La combinaison de la puissance du death metal et de riffs heavy à des solos ultra mélodiques crée une nouvelle dynamique à la fois féroce et très fine techniquement. La vitesse d'exécution des morceaux n'est pas l'élément essentiel et Firespawn privilégie sur certains titres des tempos lourds et martiaux. (Electre)

Martyrdöd est originaire de Suède. Le groupe a été créé en 2001 et présente son 7e album. Martyrdöd n'est pas la moitié d'un groupe extrême, en effet, le quatuor officie dans un style "crust préhistorique" purement sauvage et abrasif tout en proposant cependant des compositions élaborées avec des touches de raffinement au coeur du carnage. Le groupe est devenu un monstre, une entité intelligente dotée d'une férocité sans pareille et d'un savoir-faire peu commun. Hexhammaren est un album que l'on pourrait qualifier d'hyper-inspiré. Edition limitée en version CD contenant 1 titre bonus. (Electre)