Grand-père emmène les enfants à la mer. Mais la journée n'est pas de tout repos lorsqu'il faut surveiller chacun d'eux.

Un jeune couple d'ouvriers voit sa relation se détériorer au fil du temps, dans la Hongrie communiste des années 80... Tourné à la manière d'un documentaire, Béla Tarr examine avec minutie la vie des personnages pour savoir ce qui les amène à une telle situation. Un film cru, profond et dérangeant à la fois, qui selon Jonathan Rosenbaum correspondrait aux premières incursions de Béla Tarr dans le style social réaliste de John Cassavetes.

La révolution 1956 à travers le regard de deux enfants. Le premier jour de la révolution deux frères, Tomi et Anna-Marie n'en aperçoit rien des événements, ils sont seulement heureux de ne pas devoir à aller à l'école. Leur Papa rentre du travail, et raconte qu'il a eu le courage de gifler un collègue, mouchard du parti. Les enfants voient deux trous de balle dans le pain de la grande-mère qui vient de rentrer à la maison. La famille voyant que quelque chose d'important est en train de se passer dans le pays est confuse et essaie de comprendre les événements toute en gardant leur calme. La situation n'est pas évidente car la grande-mère est communiste et malgré que les parents ne le sont pas, ils s'attendent aux éventuelles représailles des révolutionnaires. Les enfants vivent leur vie d'enfant, sortent de la maison, ne souciant pas du tout des dangers qu'ils courent dans les rues. Tomi commence à se poser des questions par rapport à la sexualité et Anna-Marie, plus petite, n'arrête pas d'énerver toute la famille et de faire des bêtises en ignorant complètement les conséquences éventuelles. Au fil des événements la liaison familiale s'affaiblit et la mère veut quitter la famille et le pays avec son amant. Quand Tomi montre les symptômes de la coqueluche, elle décide de rester.

Un documentaire consacré à l'été : les couleurs, les animaux...

L'album illustre une journée d'hiver enneigée.

Sam la grenouille se fâche toujours très facilement. Ses amis le taquinent en lui disant que ça se voit dans ses yeux. Sam prend la plaisanterie au pied de la lettre et s'inquiète.

L'album rend compte des bruits ou sons qui ponctuent la vie quotidienne : le tic-tac de l'horloge, la sonnerie du téléphone, le décollage d'un avion, le chant d'un oiseau, etc.

In dit boekje vind je allemaal dingen bij elkaar. Potloden, lampjes, sokken en een schaar. De dingen zien er stuk voor stuk anders uit. Ze lijken op een vierkant, een driehoek of een ruit. Kijk en zoek je mee?

Petit ours blanc passe tout son temps avec sa maman : ils se réveillent ensemble, ils pêchent ensemble, ils jouent ensemble, toujours tous les deux. Mais bientôt Petit ours blanc devient grand et il est temps pour lui de se trouver un ami. À la mouette, à l'otarie, aux pingouins, au morse, Petit ours blanc demande alors : "Tu veux être non ami ?" Un livre tactile, pour caresser le petit ours blanc.

Hédi, une femme âgée, vit de ses rentes dans un appartement spacieux avec son fils János qui ne vient la voir le plus souvent que pour lui soutirer de l'argent, et son infirmière-gouvernante-confidente, Anna. Le petit ami de celle-ci, Miklós, s'installe dans sa chambre et entreprend de devenir l'ami de la vieille dame. János amène un "locataire" à la maison, son ami Pál, professeur au chômage. Lui aussi va tenter de séduire Hédi. Dans ce huis-clos empoisonné, des alliances se nouent et se dénouent. Il est bien difficile de démêler l'intérêt de l'affection véritable, car une seule chose est sûre : tout le monde semble cruellement à court d'argent, sauf Hédi...