La présentation de cette abbaye, fondée en 910, permet de révéler le caractère monastique et spirituel de ce lieu, notamment à son apogée dans la seconde moitié du XIe siècle.

L'organisation de l'espace et du décor intérieur de l'Opéra Garnier sont mis en lumière : les entrées dérobées, l'entrée du grand public, le grand escalier, la salle, la scène, le foyer de la danse, la galerie et la rotonde du Glacier, l'avant-foyer, les salons du Soleil et de la Lune, etc.

Etude historique de 1896 à 1900 de la construction du Grand Palais ; étude d'urbanisme abordant les changements qui ont affecté le quartier des Champs-Elysées à cette époque. Détails architecturaux des différents projets de construction, replacés dans le contexte esthétique de ce fin de siècle.

Une île au coeur des échanges commerciaux du monde méditerranéen. Des.colonies aux origines grecques et romaines. Aléria et Mariana, villes majeures de la Corse antique. Sites et monuments de la Corse.

Monographie consacrée à B. Zehrfuss, architecte emblématique de la seconde moitié du XXe siècle, auteur ou co-auteur de bâtiments comme l'imprimerie Mame à Tours, l'usine Renault à Flins, le siège de l'Unesco à Paris, le CNIT à la Défense ou le Musée archéologique de Lyon. Il reçut le Grand Prix de Rome en 1939 et a dirigé la reconstruction de la Tunisie entre 1943 et 1948.

Présentation et histoire du château assis sur un méandre de la Seine. Sentinelle du roi au Moyen Age contre l'assaillant normand puis anglais, il devint à la Renaissance une maison de plaisance. En 1674, un mariage le fit passer aux mains des La Rochefoucauld toujours actuels propriétaires. Il fut occupé par les Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale.

Qu'est-ce qu'une cheminée sarrasine ? Qu'est-ce qu'un happelopin ? En quoi l'invention du potager constitua-t-elle une révolution culinaire au XVIIe siècle ?... L'histoire d'une pièce méconnue et pourtant essentielle des habitations occidentales depuis le Moyen Age : la cuisine.

Etude architecturale et urbaine des réalisations ou des projets du siècle des lumières : la Comédie-Française et autres salles monumentales de Paris, les théâtres et temples de Bordeaux, Nantes, Marseille, Lille, Besançon, Dijon, Strasbourg ou Nîmes.

Lors de la septième croisade, en 1255, Louis IX découvre en Egypte une statue d'Isis faisant partie d'un fabuleux trésor. Vingt ans plus tard, ceux qui en gardent le secret sont menacés et un jeune berger de l'Aubrac est envoyé sur le chemin de Compostelle.

Dans le désert de l'Aubrac, en 1272, un pèlerin égaré trouve refuge à Notre-Dame-des-Pauvres grâce au son d'une cloche. L'un des moines lui raconte qu'Amaury, un berger, sonne cette cloche tous les soirs de brouillard en espérant guider son père disparu il y a vingt ans sur les chemins de Saint-Jacques.

Des exemples de restauration de décors peints, parmi lesquels l'abbaye de Saint-Savin-sur-Gartempe ou les châteaux d'Oiron, d'Ancy-le-Franc et de Fléchères. Analyse des techniques mises en oeuvre. En complément, deuxième volet d'un dossier consacré au métal dans l'architecture.

Expression essentielle de l'art orthodoxe, l'icône connaît un fort développement en Bulgarie du IXe au XIXe siècle. Ces 80 icônes, réunies à l'occasion d'une exposition au château de Vincennes avec des manuscrits et des objets liturgiques, rendent compte du contexte de la naissance de la Bulgarie en 681, de l'instauration d'une église en 854 et de leurs liens jusqu'à l'histoire moderne.

Présentation et histoire du parc d'Ermenonville, un jardin anglais reconnu comme remarquable dès sa conception en 1768. Il connaît aujourd'hui une rénovation sans précédent qui coïncide avec le tricentenaire de la naissance de Rousseau. ©Electre 2020

Une présentation des techniques de création de la céramique, et en particulier de la porcelaine, et une histoire de la Manufacture nationale de Sèvres, qui depuis 2012 forme, avec le Musée national de la céramique et le Musée national de la porcelaine Adrien Dubouché à Limoges, la Cité de la céramique.

Les photographies sont accompagnées de témoignages de visiteurs illustres (ambassadeurs au XVIe siècle, V. Hugo, A. de Vigny, etc.), des commentaires d'historiens de l'art ou encore des menus de banquets donnés en ces lieux. D'images en citations, se dessine une vision poétique de Chambord.

Découverte ludique et pédagogique de la forêt de Fontainebleau à travers des comptines sur le château de Fontainebleau, la forêt, sa faune et sa flore, ses arbres et ses sites remarquables, les peintres de l'école de Barbizon, la maison de mallarmé, etc.

Histoire de la cathédrale (présentation typologique et chronologique) et visite intérieure et extérieure, avec description des éléments architecturaux et décoratifs du monument (décor, mobilier, orgues, oeuvres d'art, tombeaux). Avec des plans légendés et une abondante iconographie ancienne et moderne.

Rarissimes sont les châteaux réduits à néant et ressuscités d'un coup de baguette magique. C'est pourtant l'histoire de Pierrefonds (Oise) né deux fois. Doté des derniers perfectionnements militaires, le premier château, " l'authentique " (vers 1400), est aussi l'écrin d'un palais raffiné, logis du constructeur, Louis d'Orléans, duc de Valois. Édifié pendant une trêve de la guerre de Cent Ans, la forteresse redoutable, et redoutée, traverse pas trop mal la guerre civile Armagnacs-Bourguignons. Il n'en est pas de même pendant les guerres de Religion, les dévastations des ligueurs. Excédé, le cardinal de Richelieu assiège Pierrefonds, le démantèle pour éradiquer son usage guerrier. Pendant deux siècles et demi, les ruines majestueuses s'enterrent dans la solitude de l'oubli. Romantisme et prise de conscience du patrimoine aidant, Napoléon III, l'écrivain Prosper Mérimée et Eugène Viollet-le-Duc, architecte hors du commun, sont d'accord : Pierrefonds fait partie des lieux qui ne doivent pas mourir. Les pierres esseulées reprennent vie grâce à une reconstruction proche de l'identique pour les extérieurs, mais très viollet-le-ducienne pour les intérieurs. La première existence du château est méconnue, de même que ses tribulations, sa destruction. Sa recréation aura été une aventure à peine imaginable par son ampleur, ses matériaux, ses novations, ses audaces décoratives. Cet ouvrage retrace la double saga de ce monument historique dont le destin mérite pèlerinage. Il est aussi le fleuron des innombrables " sauvetages " et chantiers de l'incroyable M. Viollet-le-Duc.

Retrace l'évolution architecturale de ce palais de 1624 à nos jours. Celui-ci abrita le conseil d'Etat (1875), le conseil constitutionnel (1958), le ministère de la culture et de la communication (1959) qui sont ici présentés pièce par pièce, ainsi que les lieux de détente comme la Comédie française, le théâtre du Palais Royal, les jardins, et les restaurants célèbres comme le Grand Véfour.