Pour mettre à l'épreuve leur amitié malmenée par un antagonisme amoureux, deux jeunes photographes, Matthias et Vivien, décident de partir en reportage à l'autre bout de la planète couvrir la destruction des champs de pavots dans le Triangle d'Or en Birmanie. Tombés aux mains de rebelles et de trafiquants, ils ne parviendront à s'en échapper qu'au prix du sang...

Un homme a-t-il le droit d'élever seul un enfant ? Peut-il s'approprier un fils dont il n'est pas le père ? Une réflexion sur la paternité et l'homosexualité, sur les rapports douloureux entre l'individu et la société.

Alors que le Louvre vient d'acquérir un trésor, L'or d'Alexandre, un scandale éclabousse la conservatrice au sujet de tableaux prêtés et revenus sous la forme de copies. Dans le même temps, Athina Poulakas, spécialiste de la Grèce antique est assassinée ainsi que son maître. Stéphane et Philippe, deux de leurs amis, se mettent en quête de la vérité.

Parce qu'il était un peu différent de ses camarades, Germain Fanchet a été le souffre-douleur de toute sa classe au lycée. Trente ans après, il est devenu infirmier aux urgences. Il est devenu cynique et volontiers moqueur, ses histoires d'amour ne durent pas. Et voilà qu'arrive dans son service un accidenté de la route, qui se trouve être le principal tourmenteur de son enfance...

Roger Stéphane rencontre Jean-Jacques Rinieri en juin 1946. Le premier est l'ami de Gide, Cocteau, Malraux... Il a libéré l'Hôtel de Ville de Paris en août 1944, fonde L'Observateur et est l'un des pionniers du combat pour la décolonisation. Le second étudie la philosophie à Normale Sup. « J'aimais Jean-Jacques comme je croyais jusqu'à hier ne plus pouvoir aimer. Il périt le 30 août 1950. » (Roger Stéphane, Tout est bien). Pendant quatre ans, Roger et Jean-Jacques vivent au grand jour un amour-amitié. Parce que c'était lui paraît au printemps 1953 : c'est « un morceau de musique de chambre [sans] pathétique sentimental ou verbal » (Roger Martin du Gard) dans lequel Stéphane raconte l'agonie de son ami, à la suite d'un accident de voiture. C'est aussi un livre poignant sur l'absence, le sentiment de n'avoir « plus jamais personne à qui dire l'indicible », un livre étonnamment moderne sur l'amour qui exclue toute jalousie et se conjugue avec une totale liberté sexuelle décrite sans la moindre hypocrisie.