Micheline Cuénin, professeur émérite à la Sorbonne nouvelle (Paris III), s'est spécialisée dans l'étude du XVIIe siècle français. Editrice de plusieurs romans historiques, et de Mémoires féminins, elle est également l'auteur, indépendamment de nombreux articles parus dans diverses revues françaises et étrangères, d'une histoire du Duel sous l'Ancien Régime couronnée par l'Académie française.

Premier recueil de nouvelles de la littérature française, les Cent Nouvelles nouvelles, fréquemment connues sous le nom de CentNouvelles bourguignonnes, ont été écrites vers 1460 par un auteur qui n'a pu être identifié, mais que l'on situe dans l'entourage du Duc de Bourgogne. Pendant longtemps on a eu tendance à ne voir dans ces récits que de banales histoires, alourdies d'une gr ivoiserie de mauvais aloi, reflet de l'esprit qui régnait alors à la cour de Bourgogne. Cette lecture, trop réductrice, en mêmetemps qu'elle négligeait certaines nouvelles, animées d'un tout autre esprit, et qui sont parmi les plus réussies, ignorait ce qui est peut-être l'essentiel du livre : un incontestable sens de l'humour, indissociable souvent de la conduite même du récit. L a difficulté, bien connue, de la langue du XVe siècle a conduit à proposer une version du texte qui soit accessible à un lecteur moderne tout en restant fidèle à l'esprit et à la saveur du texte original.

Cette étude compare les différentes rédactions en vers de cette chanson de geste de la fin du 12e siècle. Offrant des comparaisons avec d'autres oeuvres de l'époque, elle s'attache à retracer l'évolution du genre épique et son renouvellement romanesque et parodique.

Pétrarque et l'humanisme, publié pour la première fois en 1892 et repris, remanié et augmenté en 1907 (Honoré Champion). Ce travail est en effet fondamental puisque c'est aux sources mêmes qu'est remonté Pierre de No lhac, et notamment à ce qui subsiste de la bibliothèque du poète. Si les études sur le lyrique du Canzoniere et des Trionfi ne manquent pas, la place qu'occupe le Pétrarque et l'humanisme est irremplaçable, car l'auteur analyse en profondeur et met en lumière tout ce qui touche à l'initiateur intellectuel de la Renaissance, et notamment de la Renaissance française. L'ouvrage comprend les chapitres suivants : Le rôle de Pétrarque dans la Renaissance ; Pétrarque bibliophile : Les livres de Pétrarque après samort ; Pétrarque et Virgile ; Pétrarque et les poètes latins ; Pétrarque et Cicéron ; Pétrarque et les historiens romains ; Lesprosateurs latins lus par Pétrarque ; Pétrarque et les auteurs grecs ; Les Pères de l'Église et les auteurs modernes chez Pétrar que ; L'Antiquité dans la bibliothèque de Pétrarque ; Index.

Pétrarque et l'humanisme, publié pour la première fois en 1892 et repris, remanié et augmenté en 1907 (Honoré Champion). Ce travail est en effet fondamental puisque c'est aux sources mêmes qu'est remonté Pierre de No lhac, et notamment à ce qui subsiste de la bibliothèque du poète. Si les études sur le lyrique du Canzoniere et des Trionfi ne manquent pas, la place qu'occupe le Pétrarque et l'humanisme est irremplaçable, car l'auteur analyse en profondeur et met en lumière tout ce qui touche à l'initiateur intellectuel de la Renaissance, et notamment de la Renaissance française. L'ouvrage comprend les chapitres suivants : Le rôle de Pétrarque dans la Renaissance ; Pétrarque bibliophile : Les livres de Pétrarque après samort ; Pétrarque et Virgile ; Pétrarque et les poètes latins ; Pétrarque et Cicéron ; Pétrarque et les historiens romains ; Lesprosateurs latins lus par Pétrarque ; Pétrarque et les auteurs grecs ; Les Pères de l'Église et les auteurs modernes chez Pétrar que ; L'Antiquité dans la bibliothèque de Pétrarque ; Index.

Remarquable étude sur le Conte du Tonneau et ses traductions françaises. René Macé, Juste Van Effen, etc.- Les voyages de Gulliver, la traduction de Desfontaines, la manie des "voyages imaginaires".