Bébé Gâteau s'ennuie chez sa grand-mère. Mais cette fois-ci, celle-ci va surprendre son petit-fils avec un numéro de cirque animé par des mouches.

Mandoline, une princesse bête et laide veut se marier. Ses parents lui disent qu'à dix-sept ans, elle est encore bien jeune et se demandent qui voudrait bien l'épouser. Ce roman traite avec humour ce sujet et foisonne de jeux de langage.

A travers la vie de Cambudzaï, héroïne de ce roman, l'auteur nous fait découvrir la vie d'une jeune fille dans la société africaine contemporaine. Respectueuse des traditions, avide de savoir, elle nous parle avec émotion, tendresse et humour de la culture de son beau pays africain.

" Il est celui qui a tout vu, tout connu, celui à qui les mystères de l'univers ont été révélés ". Ainsi commence Le Récit de Gilgamesh, le tout premier héros engendré par l'humanité dans la Mésopotamie du IIIe millénaire avant J-C. Si Gilgamesh est une sorte de super-héros antique affrontant les monstres et les dieux, il est aussi, et avant tout, un homme. Terrassé par le décès d'Enkidu, son ami, son frère, et désormais tenaillé par l'atroce peur de la mort, Gilgamesh accomplira l'impossible. Il veut trouver la vie éternelle : il atteindra les confins du monde connu et franchira les " monts jumeaux " que défendent les hommes-scorpions. Il s'agit pour lui d'interroger les survivants du Déluge : eux sauront...Et Gilgamesh s'en reviendra, " plein d'usage et raison ". Peut-on être homme et ne pas mourir ? Bien avant Ulysse, Gilgamesh rapportera la réponse, une réponse étonnante.

L'auteure s'est plongée dans les versions égyptiennes de l'ouvrage et a choisi six contes. Elle entraîne le lecteur dans les ruelles du Caire, sur les places des marchés, dans les patios des palais, dans la salle du conseil et dans les harems.e la voix de Chahrazade.

L'auteure s'est plongée dans les versions égyptiennes de l'ouvrage et a choisi six contes. Elle entraîne le lecteur dans les ruelles du Caire, sur les places des marchés, dans les patios des palais, dans la salle du conseil et dans les harems.

Histoire d'une année d'amitié entre un jeune garçon et un raton-laveur malicieux et attachant. Un réflexion profonde sur les liens qui peuvent unir l'homme et l'animal.

L'année 43-44 sera décisive dans la vie de Paul, jeune allemand de 16 ans et dernier d'une famille éclatée par la guerre. Ainsi que de nombreux lycéens, il est évacué dans un camp de Jeunesses hitlériennes, où sévissent la faim et les brimades. Conscient de l'absurdité du système nazi, amoureux de Ulla et traumatisé par sa prochaine incorporation, Paul déserte. Le récit intense fait de ce roman un document historique.

Des illustrations douces et chaleureuses cadrées comme une grotte entourée du bleu de la nuit. Y évoluent grand ours qui rassure et cherche gentiment à calmer un petit ours qui, ne trouvant pas le sommeil, prétexte la peur du noir. Situation dédramatisée avec humour et tendresse avec des ours à l'anthropomorphisme rassurant. Excellent rapport entre les images et un texte rythmé comme une chanson d'endormissement.

Marion est fascinée par une peluche de mogwaï. Elle n'a pas sur elle l'argent qui lui permettrait de l'acheter de suite, et a peur de ne pas la retrouver le lundi suivant, jour où ses parents lui donneront l'argent du mois. Elle la vole impunément.

Un livre-pliage qui transforme le cochon en loup puis en zèbre, puis en souris. Il permet également de mélanger les animaux entre eux.

Coccino vit sur une île. Il adore pêcher mais il n'y a pas de poissons autour de son île. Il décide de partir à l'aventure et de franchir les frontières de son petit monde pour la première fois. Une pêche miraculeuse l'attend mais aussi de grandes frayeurs.

Dolma décide de partir avec son yack pour gravir le col qui mène au grand lac sacré Zhara Yuntso. Elle réalise ce parcours pour lancer des petits chevaux du vent afin que sa mère guérisse. Son voyage commence, dans le froid et la neige.

A la bibliothèque, la vie de Martin bascule quand Marie lui dit qu'elle l'aime et qu'elle veut sortir avec lui. Ce dernier s'imagine alors pouvoir surmonter la mort de sa mère, les excentricités de son père, sa survie au collège. Mais une heure plus tard, Martin et Marie redeviennent de simples amis. Parce que Marie s'est trompée et que l'amour ne s'explique pas. Martin refuse de la croire.

Pendant les cours, l'esprit d'Enzo s'échappe pour tourner des films. Personne ne le comprend, excepté Maé Coblence, sa professeure de cinéma. Pour l'impressioner, Enzo tente de réaliser son premier film, inspiré des westerns spaghetti de Sergio Leone.