Blaise est au chômage, sa femme Mireille est caissière de supermarché. Ils ont deux enfants, et plus aucune trace d'amour ne les relie l'un à l'autre. Blaise est témoin d'un accident mortel. Persuadé qu'il ferait un coupable idéal, il enlève et séquestre un petit garçon qui a assisté à la scène. Les actes des personnages sont déterminés par un contexte social noir.

Laurent est accusé du meurtre de sa voisine Louise. Depuis sa cellule, il relate les évènements qui ont précédé sa mort. Il l'approche alors qu'elle est plongée dans le mutisme depuis la mort de sa mère et essaie de l'en sortir en entreprenant une recherche dans son passé. Devant son échec, il décide de mettre fin aux souffrances de la jeune fille.

L'actualité d'octobre 2005 à octobre 2006 chroniquée par Pierre Kroll semaine après semaine dans l'émission de radio La semaine infernale (RTBF).

Retour sur l'histoire de ce conflit, le patrimoine, notamment au travers des sites de mémoire de Belgique et de France, et les hommes, quelle que soit leur nationalité, qui ont été marqués par la Grande Guerre. D'autres thèmes sont abordés tels que le rôle des femmes, l'art brut des poilus, les animaux, etc.

Ce portrait du prince Philippe relate sa vie, depuis son enfance, en passant par son éducation, son mariage et son rôle de prince héritier.

L'égalité entre les hommes et les femmes consacrée dans les textes de loi n'est pas réelle, fait remarquer l'homme politique belge. Il entend repenser le modèle social et considère l'investissement dans le capital humain, au bénéfice des femmes, comme un investissement dynamique, durable et non délocalisable. Il fait des comparaisons internationales.

L'auteur retrace l'histoire de la commune d'Ixelles, qui a été dès le XIXe siècle une terre d'accueil pour les réfugiés politiques et les immigrés et qui devient plus tard un lieu d'avant-garde pour les artistes belges dans de nombreux domaines. L'implantation de l'université et de hautes écoles a participé à l'ouverture d'esprit et à la recherche de nouveautés et de progrès.

Il y a vingt ans, André Cools était abattu à Liège, par des tueurs à gage. La vérité judiciaire a été rendue et les assassins condamnés ainsi que ceux qui leur ont armé le bras, au premier rang desquels Richard Taxquet, proche du ministre Alain Vanderbiest, camarade puis rival politique de Cools, qui s’est suicidé en 2002.
 Les soubresauts de l’enquête, le climat de délation et les minutes des procès ont renvoyé à l’arrière-plan l’action politique et les idéaux socialistes qui ont guidé la vie d’André Cools. Vingt ans plus tard, il était temps de revenir sur l’œuvre de cet homme entier et fidèle, dont le côté «brut de décoffrage» masquait l’intelligence pratique et l’empathie pour ses concitoyens. Aujourd’hui encore, la figure d’André Cools exerce une influence sur la Cité, de Flémalle à l’international en passant par Liège, la Wallonie et la Belgique.
 L’auteur, Louis Maraite, est licencié en journalisme. Il a travaillé pendant quatorze ans à La Libre et à La Gazette de Liège avant de devenir directeur de la Communication du ministre wallon de l’Environnement. Ainsi déniaisé, il se réoriente vers l’analyse politique, en 2004, et intègre le journal La Meuse. En tant qu’éditorialiste politique, il intervient auprès des journaux du groupe Sud-Presse et sur RTL. Depuis 2009, il est le porte-parole francophone de la SNCB-Holding, plus particulièrement en charge des grandes gares. Auteur ou coauteur de livres sur Edgard Scauflaire, Zénobe Gramme, l’association Aviation sans frontières, Michel Daerden et maintenant André Cools, ce Liégeois a l’esprit curieux et l’âme d’un grand sceptique...