Une nouvelle lecture de l'oeuvre d'Hergé par un éclairage essentiellement médiatique. L'auteur recense les rencontres du jeune journaliste-reporter avec les médias de notre époque et montre comment Hergé a perçu la photographie, la phonographie, la radio, le cinéma, le téléphone et la télévision et les a introduits dans l'univers de Tintin.

Pendant les fêtes de fin d'année un petit groupe vient passer des vacances dans un village de montagne enneigé. Mais une ombre rôde et prépare des projets meurtriers. ©Electre 2024

Son oeuvre fantastique est loin de constituer toute la production de l'écrivain Jean Ray. Sous la signature de John Flanders, il a publié en français et en flamand des contes dans quantité de journaux pour la jeunesse. A. Huftier démontre que c'est là, justement, que l'on peut rapprocher au plus la réalité de l'artiste maudit et de l'homme blessé que fut l'auteur de Malpertuis.

Il est de notoriété publique que Ferdinand Lenz fut un grand détective, le plus grand sans doute que la Belgique eût jamais compté. Ce récit relate sa toute première enquête. Il vient de fêter ses dix-huit ans et vit toujours chez ses grands-tantes à Spa. Il n'est pas encore l'expert dans le domaine de l'Art que les tribunaux apprécièrent. Il se veut dandy, désire avoir des chaussures vernies et une raie bien nette fixée à la brillantine. La saison commence à Spa et en 1893, c'est vraiment le lieu idéal pour se pavaner. On y vient de toute l'Europe pour prendre les eaux mais aussi pour y comploter. Il faudra plus d'un mort "accidentel" pour émouvoir cette bonne société... (4e de couverture)