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B3 Centre de ressources 8(092) BANVILLE En réserve
Auteurs :
Année de parution :
1925
Théodore de Banville, né le 14 mars 1823 à Moulins (Allier) et mort le 13 mars 1891, à Paris, à son domicile rue de l’Éperon, est un poète français. Fils du lieutenant de vaisseau Claude Théodore Faullain de Banville (1785-1846) et de Zélie Huet (1799-1876). Il fut un poète français, et un des chefs de file de l’école parnassienne. Banville professait un amour exclusif de la beauté et s’opposait à la fois à la poésie réaliste et aux épanchements romantiques, face auxquels il affirmait sa foi en la pureté formelle de l’acte poétique. Il collabora aussi comme critique dramatique et chroniqueur littéraire aux journaux le Pouvoir (1850), puis le National (1869) et devint une figure très importante du monde littéraire, devenant membre de la Revue fantaisiste (1861), où se retrouvent les poètes qui furent à l’origine du Parnasse et de tous les mouvements du siècle. En 1866 il épouse Marie-Élisabeth Rochegrosse, et organise la première représentation de Gringoire. Il publie Les Exilés en 1867, recueil qu’il dédie à sa femme et qu’il considéra comme le meilleur de son œuvre. Il fut l’un des auteurs les plus influents du monde des lettres, auteur de théâtre, poète de la seconde génération romantique et critique littéraire, et fut admiré et souvent imité par toute une génération de jeunes poètes de la deuxième moitié du XIXe siècle. Sa revue collective, le Parnasse contemporain, initia Arthur Rimbaud, à la poésie de son temps. Le 24 mai 1870, celui-ci, alors âgé de 16 ans, envoya à Théodore de Banville un courrier auquel il joignit plusieurs poèmes (Ophélie, Sensation, Soleil et chair), afin obtenir son appui auprès de l’éditeur Alphonse Lemerre. En novembre 1871, Théodore de Banville logea chez lui Arthur Rimbaud, mais dès le mois de mai, ce dernier dans ses lettres dites « du voyant » exprime sa différence... in Wikipédia, 2008-06-03
Editeur :
Importance matérielle :
254 p. : 19 cm
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