Treize : nombre porte bonheur ? Chance ou pas, qu'importe, c'est le nombre d'albums de Cannibal Corpse en trois décades d'existence, ce qui fait du combo de Buffalo un des groupes les plus prolifiques de l'histoire du metal. Sur A skeletal domain le groupe a décidé de changer de producteur et de s'adjoindre les services Mark Lewis (The Black Dalhia Murder, Devil Driver... ) pour un résultat sans appel. Douze titres massifs et hargneux dans lesquels Cannibal Corpse tutoie des sommets de brutalité méticuleuse et systématique. Le groupe prouve qu'après 30 ans de carrière, leur réservoir est encore largement rempli de kérosène, qu'ils ont encore plus de riffs en tête et plus de mots pour décrire le gore qu'aucun autre autre être vivant. (Electre)

Les héros du doom/sludge, originaires de Caroline du Nord sont passés chez Candlelight records et Southern Lord avant de rejoindre Metal Blade, pour livrer un quatrième album lourd et lent à souhait. (Electre)

C'est un album composé de huit titres, 79 minutes, qui incarnent tout ce que les fidèles du groupe de heavy metal suédois attendent d'eux tout en explorant de nouveaux horizons. "Nous savions exactement quel album nous voulions faire, et c'était l'antithèse de tout ce que nous avions fait auparavant", explique Johannes Persson, chanteur/guitariste et compositeur principal. "Pour presque tous les albums, il y a eu un thème très concret. Nous savions depuis le début le genre d'histoire que nous voulions raconter, et je ne voulais pas que ce soit le cas ici. Je voulais juste voir ce qui pouvait émaner de moi, et "A dawn to fear en est le résultat." C'est sans doute aussi plus heavy que leur dernier album, Vertikal de 2013 et leur collaboration de 2016 avec Julie Christmas, Mariner, tant au niveau de la densité de la musique que de sa sonorité. Concernant le suivi de l'album, le groupe a choisi de travailler chez Ocean Sound Recordings en Norvège. Pendant onze jours, le groupe a vécu au studio et a apprécié le processus de construction du disque. (Electre)

Les Polonais de Batushka se sont imposés comme un des groupes de black metal les plus puissants de leur génération. Ils ont su faire leur entrée sur la scène metal international avec leur premier album Litourgiya : un monument d'originalité empreint d'un mysticisme sombre et profond qui les a progressivement amenés à appartenir au cercle privilégié du Metal undeground. Intense et audacieux, Hospodi emmène le groupe dans une toute nouvelle dimension. L'album s'ouvre sur des chants envoûtants avec Wozglas tout en nous emmenant vers le grandiloquant Dziewiatyj czas, suivi d'un morceau dramatique et dark rock Wierczernia. En somme, Hospodi est un album dynamique avec une pluralité de mélodies impressionnantes, qui illustre parfaitement la brutalité du 21e siècle. (Electre)

Les débuts d'Angel Witch en 1980 sur Bronze ont créé des ondes de choc qui ont résonné dans le monde naissant du thrash, du doom et du death metal. Aujourd'hui, près de quarante ans plus tard, le groupe demeure le gardien d'un style qui transcende les époques et les archétypes. Cette fois-ci, le groupe s'est rendu au Stationhouse de Leeds (Royaume-Uni) pour enregistrer Angel of Light avec le producteur James Atkinson (Gentleman's Pistols/Voorhees). Le résultat est une révélation : Angel Witch renaît et est plus puissant que jamais, conservant chaque iota de la finesse mélodieuse et de l'intrigue métaphysique qui les a élevés au-dessus de leurs contemporains dès le premier jour. (Electre)

Verminous est la sortie la plus dynamique et la plus enthousiasmante de Black Dahlia Murder à ce jour. "Je pense que c'est le plus grand saut que nous n'ayons jamais fait d'un album à l'autre. Nous avons alimenté les feux de la création avec Nightbringers de 2017 et c'est allé beaucoup plus loin maintenant avec Verminous", déclare le chanteur Trevor Strnad. "C'est un album très coloré, lunatique et charismatique qui expérimente de nouvelles sonorités et idées sans perdre le côté tranchant de Black Dahlia. Il y a beaucoup de détails à digérer. Beaucoup de délicieuses surprises sont tissées dans la trame de chaque chanson. Chacune d'entre elles est une entité vivante qui se démarquera comme l'une des meilleures musiques que ce groupe n'ait jamais créées". (Electre)

Des rythmes explosifs mais avec des mélodies captivantes le tout porté par un groove unique. (Electre)

Le groupe new-yorkais de métal avant-gardiste est de retour avec un quatrième album, enregistré et produit par Erik Rutan (Cannibal Corpse, Soilent Green, Belphegor, Hate Eternal), ancré dans le son post-métallique qui a fait connaître le groupe en 2007, tout en étant leur création la plus expérimentale à ce jour. Un disque sombre et introspectif qui relate les idées communes de la mortalité, de l'infini et des mystères cosmiques. (Electre)

Igorr, alias Gautier Serre, musicien et compositeur français, nous propose un mélange de genres original mêlant notamment électronique et accordéon, saxophone et riffs lourds ou encore mandoline et voix lyriques. Pour réaliser cet album, Serre a réuni une équipe de musiciens - Laurent Lunoir et Laure Le Prunenec au chant, Sylvain Bouvier à la batterie - et a collaboré avec plus d'artistes que sur ses albums précédents. (Electre)

Le groupe de métal extrême américain est de retour avec un 8eme opus studio. Le collectif a voulu faire vivre l'essence du death metal, la pensée libre, pour montrer aux gens le chemin de la force intérieure et de la volonté propre. (Electre)

Avec Savage sinusoid en 2017, Igorrr s'est révélé être une force musicale vraiment unique et Spirituality and distortion cimente cette réputation bien méritée. Réunissant des styles musicaux disparates allant du death et du black metal au breakcore, en passant par la musique balkanique, baroque et classique, d'une manière aussi peu conventionnelle et imprévisible que palpitante, Igorrr ne ressemble à aucun autre, et cet opus affiche un éventail d'émotions aussi large que les sons. "La vie est un large éventail d'émotions ; parfois on est heureux, parfois on est triste, en colère, nostalgique ou ébloui", déclare Gautier Serre. "La vie n'est pas seulement une couleur. Ces 14 titres sont un voyage à travers les différents états d'esprit que j'ai vécus".

Cattle Decapitation revient comme une ôde à l'apocalyspe avec 'Terrasite' ! Bien que de nombreux groupes aient essayé, personne n'articule l'apocalypse réelle à laquelle l'humanité est confrontée de manière aussi vivante et succincte que Cattle Decapitation. Avec « Death Atlas » en 2019, ils ont atteint l'apogée de leur art, ce qui a peut-être conduit certains à penser qu'ils ne pouvaient pas aller plus loin, mais ils reviennent aujourd'hui avec « Terrasite », qui est une déclaration aussi audacieuse que celle qu'ils ont faite jusqu'à présent. L'album prend vie avec le sauvage mais obsédant mélodique 'Terrasitic Adaptation', progresse à travers l'implacable 'We Eat Our Young' et culmine avec les plus de dix minutes de 'Just Another Body', c'est un album qui change constamment de dynamique et qui demande une variété de réponses émotionnelles. Le titre est un mot inventé par Ryan qui réunit 'Terra-' qui signifie terre et '-site' dérivé du mot grec '-sitos' qui signifie 'nourriture'. La combinaison des deux signifie 'mangeur de terre', comme une métaphore du rôle de l'humanité dans la destruction de la planète, et est un jeu de mots sur le mot très approprié de 'parasite'. Le dessin de Wes Benscoter, collaborateur de longue date, donne vie à tout cela de manièresaisissante.

35 ans après leurs débuts, les cannibal corpse sont de retour !Depuis 1988, cannibal corpse est à lavant-garde du death metal, façonnant et définissant le genre. En 2021, ils ont encore relevé les défis avec violence unimagined. Et en 2023, année du trente-cinquième anniversaire du groupe, ils reviennent avec son successeur, le tout aussi monstrueux chaos horrific, entamant ainsi un nouveau chapitre de leur riche héritage. Ecrit peu après la fin des sessions de violence unimagined, chaos horrific contient des échos de cet album. Pour moi, cet album est en quelque sorte la suite de violence unimagined, déclare le bassiste alex webster. Rutan a produit six albums de cannibal corpse, en commençant par kill en 2006, et cest le deuxième album de rutan en tant que membre à part entière, depuis quil a officiellement rejoint le groupe en 2020. Lenregistrement au mana studio de rutan en floride, létat dorigine du groupe, a été confortable pour toutes les personnes impliquées, qui étaient au sommet de leur art et prêtes à donner le meilleur delles-mêmes. Les choses se sont déroulées plus facilement que jamais, en particulier au niveau des guitares, grâce à barrett et rutan. La pochette de lalbum, réalisée par vince locke, collaborateur delongue date, est également digne de cannibal corpsesque, avec un enchevêtrement chaotique de vivants et de morts-vivants, évoquant les paroles du morceau éponyme.

Le premier album concept de la formation suédoise nous emmène au coeur d'un conte tragique rythmé par l'amour et la rédemption, le tout accompagné par les mélodies métal incontournables. Produit et mixé une fois de plus par Andy Sneap (Megadeth, Testament, Accept) on y voit apparaître en invité spécial le batteur Tobias Gustafsson (Vomitory). L'histoire se déroule durant la période des Jomswikings, l'ordre légendaire des Vikings mercenaires. (Electre)