Un traité sur la réincarnation, l'au-delà et le sens de la vie.

Le père A. Grèun décrit les différentes manières de rêver sa propre vie, et montre différents chemins pour réaliser ses rêves sans se résigner, sans les abandonner.

Un recueil de 100 textes autour de la pédagogie de la foi telle que l'Eglise a essayé de l'exprimer à travers les siècles dans le Magistère. A destination de tout chrétien soucieux d'approfondir sa foi ainsi qu'aux étudiants en théologie.

Cette sélection de textes sur l'environnement aborde ses diverses facettes, du naturel au social, en passant par le culturel et l'économique. Réflexions, prières, extraits d'homélies, de messages et de catéchèses évoquent l'exploitation des ressources de la planète, le développement durable ou la question de la faim et de la rareté des ressources naturelles.

Science, philosophie, poésie et théologie dessinent l'épure de quatre anthropologies différentielles. A partir d'elles, et au-delà, peut s'édifier le programme humaniste "qui fait et refait sous nos yeux le procès de l'humain".

En donnant quelques clés de lecture, en proposant un plan et surtout en définissant clairement l'objet du Livre de l'Apocalypse, c'est-à-dire la révélation de Jésus-Christ et l'aboutissement du projet divin de sauver les hommes, ce cahier veut aider à entrer en sympathie avec le dernier livre de la Bible.

Réflexion théologique sur l'Ascension abordée sous ses trois dimensions : la liturgie, l'écriture sainte et la tradition. L'Ascension se présente en premier lieu comme un mystère célébré, depuis la plus haute Antiquité. Elle s'enracine dans les textes bibliques et a été une source d'inspiration et de commentaires tout au long de l'histoire chrétienne.

" Cet ouvrage est une lecture suivie, pas à pas, de six rencontres de Jésus dans l'évangile de saint Jean : Nicodème, la Samaritaine, l'infirme de Bethzatha, la femme adultère, l'aveugle-né et Lazare. Le lecteur auquel j'ai pensé en écrivant n'est ni un spécialiste de la Bible, ni un ignorant de la foi chrétienne. Il cherche à nourrir sa foi et sa prière par un contact direct avec le texte de l'évangile, tout en étant quelque peu guidé dans cette fréquentation. Il n'a pas toujours une Bible à portée de la main. C'est pourquoi il trouvera, en regard du texte que j'ai écrit, sur l'autre page, le texte même de l'évangile que je lis avec lui, ainsi que des références bibliques auxquelles il peut renvoyer. Ce livre ouvre des pistes de réflexion et de prière et peut devenir ainsi une lecture spirituelle franchement appuyée sur la parole de Dieu. Une longue expérience de l'accompagnement des Exercices spirituels me fait toucher de près l'intérêt d'une connaissance toujours plus approfondie de la Bible. "

Ce bréviaire contribue à la prière en offrant pour chaque jour de l'année un passage de l'Ecriture ainsi qu'un petit commentaire qui aide à en saisir le sens spirituel. Cette édtion résume quarante années d'expérience de prière et d'étude des Ecritures.

Ce guide souligne la difficulté de la tâche de l'évangélisateur dans une société marquée par le changement des références collectives. Il expose la nécessité et les moyens d'une évangélisation dite "intempestive".

Cette réflexion sur l'objet de l'acte moral engage des enjeux onthologiques et philosophiques.

Une vie d'homme ne se raconte ni ne s'écrit : livre jamais achevé, que je devrais refaire à l'infini. Ceci n'est pas une biographie, ni une vie imaginaire : chaque détail se fonde sur un document ou un témoignage. L'examen des manuscrits permet de saisir sur le vif une pensée en perpétuel mouvement, de retrouver les points de jonction entre poésie et philosophie. Et les milliers de feuillets où se récrivent les poèmes en disent plus long que les pages d'un journal intime. Ce récit débute en 1924, au moment où Fondane arrive à Paris, et s'étend sur vingt années de son existence, tout en s'attardant sur les années 1940-1944. J'ai utilisé toutes les formes narratives : gros plan, ralenti, accéléré, flash-back et anticipation. Pour tenter de saisir un visage d'homme, le professeur que je fus abandonne son bagage érudit de notes et de références. Et si le lecteur peut être surpris par les intrusions d'un « je », d'une première personne du singulier, c'est que, sous cette histoire, se dissimule un autre récit, celui d'une enfant qui se retrouva, à l'âge de deux ans, sur les routes de l'exode. Ne pourrions-nous avoir des rendez-vous dans le passé ? Et ce livre serait-il, à sa façon, une larme dont s'accroît la masse d'eau de l'Atlantique ?