Le deuxième album prodigieux et dévastateur de la formation de Montréal navigue entre électro sombre, art rock et new-wave. (Electre)

C'est en 2012 que le projet est né. Les cinq musiciens de Suuns et leur ami de longue date, Radwan Ghazi Moumneh de Jerusalem in my Heart ont commencé à travailler ensemble et à enregistrer quelques morceaux dans un studio à Montréal. Malgré l'efficacité de cette session, les deux groupes ont continué leurs projets respectifs laissant de côté leur idée de collaboration. Durant l'été 2014, tout est relancé. Les artistes finissent l'enregistrement et le mixage des voix en octobre de la même année. Comme le dit lui-même Shemie, "Ce n'est pas un album de Suuns, ce n'est pas un album de Jerusalem in my Heart. C'est réellement le fruit de la collaboration de cinq musiciens qui ont passé beaucoup de temps en tournée à écouter de la musique ensemble". (Electre)

Joey Dosik, salué par Quincy Jones comme "Artist to watch", réédite son premier EP, Game Winner, via Secretly Canadian. Initialement sorti en juin 2016, le label sort une version deluxe avec quatre pistes bonus disponibles pour la première fois. Dosik a déjà travaillé avec Vulfpeck, Nikka Costa et Miguel Atwood Ferguson. Il représente une partie essentielle d'une scène de Los Angeles qui aime a retravailler les sons vintage dans un contexte plus contemporain.

"Ce disque est définitivement plus souple, plus libre que notre dernier album Hold/Still (2016). Ce n'est plus aussi clinique, il y a moins d'arrogance" nous avoue le chanteur/guitariste Ben Shemie. On peut entendre cette liberté filer à travers les 11 titres de Felt. C'est à la fois une continuation et une renaissance ! (Electre)

Le troisième opus du groupe est une véritable énigme : une suite de mélodies méticuleusement jouées et surnaturellement belles qui embrasse les contraires et fait de la dissonance cognitive une vertu. C'est un album qui ne révèle pas ses secrets facilement, une exploration cérébrale sur la création de textures électroniques à partir de lives et d'instruments analogues. (Electre)

Après avoir teasé leur grand retour suite à neuf ans d'absence, les Yeah Yeah Yeahs reviennent officiellement avec un album. Karen O, Nick Zinner et Brian Chase sortent leur cinquième disque studio chez Secretly Canadian. Cet ensemble de huit titres, nouvelle étape de leur carrière, est une savante distillation de leur meilleure recette, à écouter attentivement. La magie créatrice qui opère quand les Yeah Yeah Yeahs sont en studio relève de la pure alchimie, lorsque leurs étincelles uniques débouchent sur tout un champ des possibles.

Après avoir teasé leur grand retour suite à neuf ans d'absence, les Yeah Yeah Yeahs reviennent officiellement avec un album. Karen O, Nick Zinner et Brian Chase sortent leur cinquième disque studio chez Secretly Canadian. Cet ensemble de huit titres, nouvelle étape de leur carrière, est une savante distillation de leur meilleure recette, à écouter attentivement. La magie créatrice qui opère quand les Yeah Yeah Yeahs sont en studio relève de la pure alchimie, lorsque leurs étincelles uniques débouchent sur tout un champ des possibles.

Porridge Radio est né dans la chambre de la chanteuse et compositrice Dana Margolin. Elle y enregistrait ses chansons et commençait à les jouer aux soirées open mic des bars de Brighton. Ces concerts l'ont forgée, elle a pris confiance en ses talents de performeuse et de songwriteuse. Tout cela l'a poussée à former un groupe : Porridge Radio est né. Inspirée par ses relations, son environnement - particulièrement la mer - et ses amitiés avec les autres membres (Maddie Ryall la bassiste, Georgie Stott au clavier et Sam Yardley à la batterie), Dana a su trouver son style distinctif d'indie-pop, mêlant romantisme, rage et mélodies addictives.

Lorsque Dana Margolin a commencé à réfléchir aux thèmes de cet album de Porridge Radio, trois mots éclatants ont vite émergé : la joie, la peur et l'infini. La pochette du troisième album du groupe est une image surréaliste qui évoque les plongeons, les pentes glissantes et l'angoisse existentielle de la vie de ces derniers temps. Pour elle, les sentiments de joie, de peur et d'infini coexistent, on n'est jamais simplement heureux ou malheureux.