Une réflexion sur le pouvoir qui prend en compte sa fragmentation de l'affirmation de nouvelles entités telles que les entreprises, les associations, les ONG... et les nouvelles manifestations hégémoniques fondées sur l'influence (américaines ou chinoises).

Dans cet essai, l'auteur démontre que le terrorisme ne peut être assimilé à une guerre au sens classique, mais qu'il fonctionne selon une logique de réseau. Selon lui, il faut donc le combattre par la coopération des acteurs et le travail sur ses causes. Une étude technique met en lumière l'enjeu majeur que représente la compréhension du terrorisme par les entreprises.