Pierre Naudin ouvre ici son troisième cycle consacré à la guerre de Cent Ans et particulièrement à la vie en France au XIVe siècle. Gui de Clairbois, jeune écuyer du Maine, participe à la chevauchée tragique au cours de laquelle le roi Charles VI est pris d'un subit accès de démence.

Pierre Naudin poursuit ici son troisième cycle consacré à la guerre de Cent Ans et particulièrement à la vie en France au XIVe siècle. Gui de Clairbois, jeune écuyer du Maine, participe à la chevauchée tragique au cours de laquelle le roi Charles VI est pris d'un subit accès de démence.

Gui se sépare d'Heloïse, qui ne veut pas vivre dans le domaine familial. Il apprend que son père, mort en Lombardie, n'était pas le héros vertueux qu'il croyait. En compagnie de son écuyer Broecks, il s'illustre lors de joutes à Bayeux, se rend chez la veuve d'Enguerrand de Coucy et doit ensuite aller à Avignon protéger le pape Benoît XIII.

Gui de Clairbois et Yvain d'Antigny ont été fait prisonniers par les Turcs après la sanglante bataille de Nicopolis. Ils vivent dans l'attente du paiement des rançons. Mais seuls les prisonniers fortunés sont libérés et pour les deux compagnons, Bayézid organise un combat de champions : s'ils triomphent, ils seront libres...

Le 23 novembre 1407, dans la nuit, le duc d'Orléans quitte l'hôtel Barbette pour se rendre à l'hôtel Saint-Pol, où son frère l'a mandé. C'est un piège contre lequel Gui de Clairbois l'a mis en garde. Mais la reine vient de mettre au monde clandestinement une fille, fruit de leurs amours adultères. Le prince va au rendez-vous sans méfiance et il est assassiné par dix-huit hommes de main.